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TEST : Test de terrain

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Test terrain du Panasonic GX80 enfin un hybride efficace

30 mai 2016
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J’ai pu prendre en main ce week end le nouveau Panasonic GX80 (relire Trop gros, trop petit ? Ou parfait ?), dont les ventes décollent bien semble-t-il… Ce qui est normal car il rassemble (pour la première fois dans l’histoire des APN hybrides), un ensemble de caractéristiques impressionnantes…

 

 

Tout ça, pour un prix contenu de 699 € en kit avec le minsucule 12-32 mm stabilisé. Hors, il me semblerait fou de dépenser plus que cela pour un hybride à viseur électronique (viseur par définition médiocre) ; dont on peut suppose qu’il sera remplacé dans 16 ou 20 mois par un successeur bien meilleur. Mais à 699 € en kit : je serais presque prêt à me passer de visée optique… A condition d’avoir en échange tout ce qu’offre ce GX80 : un écran orientable verticalement, la compacité des objectifs M4/3, la stabilisation dans le boîtier et dans les objectifs, de la vidéo 4k… Sans oublier quelques gadgets amusants.

Voilà le programe de ce « gros GM5 », ou ce « mini GX 8 » de voyage (si on le compare à deux modèles phares de Panasonic)… Ce Panasonic Lumix DMC-GX80 (699 € en kit environ), sera à confronter principalement aux Fuji X-T10 (qui a baissé à 729 € en kit environ) et à l’Olympus OM-D EM-10 II (qui a lui aussi baissé à 699 € en kit environ). En dehors de ces deux-là (et des deux mini reflex de Canon et Nikon : les EOS 100D et D5500), la concurrence est quasi inexistante ! En effet, on ne peut mettre sur le même plan des APN compacts à capteurs de 1 pouce, qui ne procurent pas les effet de « bokeh » qu’adorent les photographes (même si il n’y a pas que le « bokeh » dans la vie)…

Merci à Philippe de la boutique Camara à Paris 9 em, qui m’a prêté un GX80 (il fait un prix spécial à l’occasion de son lancement). Voici mes impressions à chaud, classées sur le mode « j’aime / j’aime pas ».

Et je commence par les nombreux « j’aime » : vous verrez qu’il ne reste pas beaucoup de place pour les « j’aime pas », tout en bas de l’article…

Son rapport qualité / prix : franchement, je ne vois pas quel autre hybride peut offrir autant de bonnes choses à ce prix… D’autant que si vous envisagez l’achat de 2 ou 3 objectifs complémentaires vous continuez à faire des économies. Allez relire notre grand Comparatif : meilleurs hybrides avec EVF à moins de 700 €. Et rappelez-vous que beaucoup de caractéristiques du GX80 étaient déjà en place sur le GM1 testé ici Panasonic GM1 mon compact préféré.

Son zoom stabilisé kit, G Vario 12-32mm f/3.5-5.6 Asph. / MEGA O.I.S : je recommanderais l’achat de ce kit (même si d’autres kit plus ambitieux existent). Car ce mini objectif équivalent à 24-64 mm en full frame est unique au monde… Il ne pèse que 70 gr. Une réussite, qui offre pourtant d’assez bonnes performances. Lire la suite…

Agréable et compact...
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Test terrain du Sigma 24 mm f/1.4 Art : mon objectif préféré

17 mai 2016
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S’il est une focale incontournable dans le coeur d’un photoreporter au 21em siècle : je dirais que c’est le 24 mm… La focale 24 mm est au reportage en 2016, ce que le 35 mm était au reportage durant la première moitié du 20em siècle.

J’ai craqué pour le Sigma 24 mm / F 1,4 DG HSM : car il n’est pas trop cher (environ 850 € sur Amazon.fr) et exceptionnellement lumineux… Un peu encombrant, certes. J’ai pas mal hésité avec le Canon EF 24 mm f/2.8 IS USM : bien plus compact léger, stabilisé et moins cher (environ 489 € sur Amazon.fr). Mais la possibilité du bokeh à f/1.4 l’a emporté. Quelques exemples de photos réalisées au Japon (depuis 14 jours que nous y sommes)… Appareil tenu à bout de bras sans viser, lors d’un des plus fantastique festival qui se déroule à Tokyo, c’était samedi et dimanche dernier. Par hasard on se trouvait là… Lire la suite.

Japon Asie, Japan Asia

Japon Asie, Japan Asia

Japon Asie, Japan Asia

C'est l'objectif qui compte... Plus que l'appareil !
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GrafiLite, une lampe lumière du jour pratique

2 février 2016
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J’ai pu essayer cette petite lampe lumière du jour : GrafiLite dont le tarif est assez accessible (82 €)… Elle rendra de fiers services à quiconque a déjà tenté d’imprimer une image, ou même « fait tirer » ses images et souhaite les vérifier, après le coucher du soleil. Généralement on se met près de la fenêtre, encore faut-il avoir une fenêtre… et selon la météo ça change un peu votre image (mais vous ne vous en rendez pas compte). Si l’on souhaite évaluer l’écart entre un tirage et l’affichage du moniteur, on est également embêté : souvent il y a une distance ou un angle peu pratique entre la fenêtre et le moniteur. C’est là que la lampe « Lumière du jour » est indispensable.

Certes, il existe des produits plus professionnels (ici ou ) répondant à des normes strictes, mais leurs tarifs sont beaucoup plus costauds. La GraphiLite  existe aussi en double pack, ce qui permet d’éclairer une plus grande surface. Déployez-là pour l’allumer. Ensuite elle peut se déployer complètement. Le tube de rechange coûte 19 € (ça va) et dure 10.000 heures. Une semelle métallique vissée comportant des trous pour des visses murales, ce qui permet de la positionner sur un mur. Vous pouvez ainsi bénéficier d’un bureau éclaté à la lumière du jour. Ce qui est plus « dynamisant » pour travailler, notamment pour travailler des photos ! Lire la suite…

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Ouvrez l'oeil !
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Prise en main express des Canon G5 X et Canon G9 X

24 octobre 2015
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Merci à Philippe de la petite boutique Camara Paris 9 (donnez le mot de passe Photoetmac pour avoir une remise ;-) de m’avoir laisser essayer le Canon G5X qui vient d’arriver en rayon… C’est une prise en main rapide : donc pas de conclusions hâtives. Ce Canon G5 X est vraiment un bel objet avec ses petits liserés rouges (reprenant le code couleur « Pro », des objectifs série L)… Il est très compact, bien fini et bien assemblé. Canon a vraiment fait un effort du côté du design, qui est une de leur grande force. Esthétiquement, c’est une vrai réussite je trouve : il ressemble à un outil efficace, pas à un gadget… En passant, c’est également le cas, pour le minuscule G9 X qui est encore plus réussi esthétiquement et s’affirme comme le digne successeur de la série S.

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Prise en main : c’est excellent ! On a presque l’impression de tenir un petit reflex, vous allez adorer ça. Il ne glisse pas des mains, on l’utilisera donc (de préférence) avec une simple dragonne de poignet… Il sera bien pratique en week end, car il rentre dans une poche. Un volet vient protéger l’objectif qui s’escamote et ne dépasse pas trop. Le repose pouce procure un appui très stable… A l’avant le grip (épais pour un compact), tient bien sous les doigts. C’est exactement ce qui manque au Sony RX100…

La nouvelle molette avant est volumineuse et tombe bien sous l’index de la main droite. C’est la première fois que l’on trouve une telle molette avant sur un compact… Elle est très facilement paramétrable Modes par Modes. La bague rotative autour de l’objectif est déjà bien connue… Elle est suffisamment large pour être pratique. On lui attribuera volontiers le zoom par focales entières (24, 28, 35, 50, 75, 100 mm) : c’est à régler pour chaque Mode de prise de vue.

Il reste possible de zoomer classiquement du bout de l’index, grâce au curseur situé devant le déclencheur : ce qui facilite l’usage à une main… Et parfois je dois avouer que ça me manque un peu sur le Panasonic GM1. qui possède une bague de zoom manuelle que j’apprécie beaucoup (car c’est ce qui reste le plus rapide) et qui est préférable à un zoom motorisé… Mais il est des jours ou l’on est un peu feignant pour y mettre les deux mains, dans ce cas le zoom motorisé c’est sympa ! Un molette des modes ferme à gauche, une molette de correction d’expo également ferme sous le pouce. Le G5 X se comporte en gros comme un Canon G7 X (testé ici) et ça me convient ! Lire la suite.

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Dans une poche...
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Test terrain du Canon EOS 5Ds R au Kenya (partie 1)

8 septembre 2015
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Il y a trois ans de cela, j’avais publié un test terrain du Nikon D800 réalisé au Kenya (qui a vu un nombre de lectures impressionnant)… C’est au tour du Canon EOS 5Ds R de passer le test terrain au Kenya. A lire ici en plusieurs partie (patience pour la suite, que je publiais au fur et à mesure) :

 

 

La prise en main : exceptionnelle – L’introduction est à lire ici. Entrons directement dans le vif du sujet… Le premier contact avec l’EOS 5Ds ne vous déroutera pas si vous connaissez les EOS 5D MkIII et les EOS 6D : c’est juste un plaisir ! Le revêtement de la poignée est ultra confortable, même lorsque l’on transpire en plein midi sous le soleil dans une jeep en attendant que les lions finissent leur sieste… Il y a longtemps que Nikon ne domine plus Canon en matière de finition et de confort de prise en main. Saisissez-le : c’est évident.

Je trouve l’ergonomie générale quasi parfaite et j’ai adoré l’utiliser chaque jour. On ne chipotera que sur quelques menus détails. Le seul vrai regret est l’absence de la nouvelle « gâchette d’AF » apparue sur l’EOS 7D MkII (ce qui tendrait à démontrer que cet EOS 5Ds était dans les cartons depuis fort longtemps). Mais on peut personnaliser la touche M-fn pour améliorer le pilotage de l’AF. La prise en main est très « sûre », y compris avec l’encombrant Sigma 120-300 mm f/2,8 DG OS HSM, qui s’est révélé fantastique lors de ce Safari. Je suppose d’ailleurs que l’utilisation avec des gants fins en hiver, ne posera pas de problèmes particuliers. C’est après un détour par ce genre de boîtiers, que l’on comprend à quel point la plupart de hybrides sont souvent très mal dessinés (à titre d’exemple, il aura fallu à Sony trois versions de A7 successives, pour trouver enfin une place à peu près convenable au déclencheur). Lire la suite…

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A lire attentivement !
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Canon EOS 5Ds R fichiers RAW et JPEG à télécharger

21 juillet 2015
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Il y a 3 ans de cela, j’avais publié un test du Nikon D800 réalisé au Kenya (qui a vu un nombre de lectures impressionnant). C’est au tour du Canon EOS 5Ds R de passer le test terrain au Kenya, à lire ici en plusieurs partie (patience pour la suite, que je publierais les articles au fur et à mesure) :

Voici pour commencer quelques fichiers RAW et JPEG du Canon EOS 5Ds à télécharger… Pour vous donner une idée de ce que la bête a dans le ventre. Depuis le test terrain du Nikon D800 au Kenya, pas mal d’eau a coulé sous les ponts… De nombreux utilisateurs avaient étés refroidis par le nombre élevé de photos floues qu’ils réalisaient avec leur D800 (un problème qui ne m’avait pourtant pas marqué, lors de mon test terrain). Il s’est finalement avéré que la résolution n’en était pas la raison principale… Mais plutôt qu’un problème d’amortissement de l’ensemble miroir obturateur était en cause (semble-t-il corrigé sur le D810).

Canon EOS 5Ds R Face

 

Sachant cela, pourquoi ne pas se laisser tenter par les 51 Mpix des Canon EOS 5Ds ? D’autant que Canon a spécifiquement soigné l’amortissement du miroir (peut-être alerté par les déboires du D800 ?), relire notre présentation initiale du Canon EOS 5Ds… Alors ? Quels progrès ont été réalisés par Canon durant cette période, si l’on prend ce Nikon D800 comme référence ? Quels sont les atout et les inconvénients de ce nouveau reflex à la résolution record de 50 Mpix (ou 28 Mpix, ou même 18 Mpix, selon la taille de RAW que vous choisissez) ? Et question subsidiaire, ce reflex est-il éventuellement comparable au Pentex 645Z essayé récemment, dont le prix est double ?

Mes première impressions sont en tous cas extrêmement positives… Pour peu qu’elle soient nettes ( ! ), il est totalement jouissif de « zoomer avant » dans l’image de très haute résolution que vous obtenez à l’écran… Appuyez du pouce, sur le bouton central de la molette arrière (que je vous conseille de configurer à cet effet, car c’est génial). Vous serez alors totalement subjugué, par les détails que vous y découvrirez ! Par exemple son propre reflet dans l’œil d’un animal qu’on vient de photographier !

Pour cela, notez bien ce conseil que je préfère vous livrer immédiatement : optez d’entrée de jeux pour le « Picture Style Détails fins »… Ou alors personnalisez un autre « Picture Style »… Par exemple « Faithfull » ou « Standard », en augmentant la netteté au maximum, en baissant le rayon au minimum et le seuil au niveau 1 (accentuation plus forte), ou 2 (accentuation plus douce). Ce Canon est le premier appareil photo capable de personnaliser ces réglages extrêmement importants, un peu à la façon de Photoshop. Je tenterais enfin de répondre à cette question : le Canon EOS 5Ds peut-il être considéré comme un reflex polyvalent ? Au delà du studio, d’un Safari photo ou d’un domaine photographique ou la résolution de l’image prime sur tout le reste… En faveur de « l’argument polyvalence », citons la capacité de l’EOS 5Ds à fabriquer « aussi » des fichiers RAW de seulement 28 Mpix. Notamment lorsque la très haute résolution n’est pas nécessaire (donc la plupart du temps). Il me semble que 28 Mpix est une résolution assez polyvalente…

Avant de rentrer dans les détails je vous propose sur cette page, quelques fichiers RAW a télécharger histoire de vous mettre dans l’ambiance. Il s’agit d’images réalisées à main levée, sans pied, ni précautions particulières (afin d’évaluer les risque de flou de bouger). Lire la suite… 

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Test terrain du Pentax 645 Z : du lourd du rare !

23 juin 2015
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Prise en main inhabituelle aujourd’hui sur notre site, plutôt consacré aux reflex légers et aux petits hybrides… J’ai essayé récemment le Pentax 645 Z  (parcourez sa fiche d’identité sur le site Ricoh) : un moyen format de 51 Pixels au ratio 4/3, successeur du Pentax 645 D de 40 Mpix…

 

 

Qui s’utilise un peu comme un reflex et sait s’échapper des studios… C’est aussi l’un des moyens formats les plus « abordables » : à 7990 € il est beaucoup moins coûteux que les Hasselblad et PhaseOne. PENTAX 645 Z : FICHIERS RAW À TÉLÉCHARGER.

Alors, ce « petit » moyen format, fait-il la différence, par rapport à un reflex Full frame de type Nikon D800, Sony Alpha 7R, ou Canon Eos 5Ds ? C’est vraiment ce que je voulais savoir… Avant de vous livrer mes impressions, je vais commencer avec une anecdote… A peine ai-je commencé à faire quelques images dans la rue avec ce beau jouet, qu’un jeune homme s’approche de moi !

Il m’interpelle assez énervé : « vous avez pris une photo ? Et je suis dessus » ? Je réponds en souriant pour « désamorcer » cette situation bien connue… que oui en effet ! Il est bien sur ma photo, que j’ai fait « de cette rue »… Mais que bien entendu, je ne le prenais pas en photo « lui » et surtout qu’il ne s’inquiète pas… Sans même répondre, il tourne les talons et s’en va un peu honteux !

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Voilà donc le premier effet d’un appareil « visiblement » professionnel : vous ne passerez plus inaperçu (suis-je jamais passé inaperçu d’ailleurs ?)… Avec ce Pentax et ses optiques, vous passerez encore moins inaperçu ! Nul doute que lors d’un évènement, ou d’un mariage : armé d’un tel objet, vous apparaitrez comme « le plus pro » de tous les photographes présents ! Et blague à part, il existe des tas de circonstance ou cela s’avèrera assez utile… Pour convaincre un client de vous faire confiance !

Caractéristiques –  Avant la prise un main, commençons par un petit récapitulatif des caractéristiques marquantes, car ce genre de matériel est assez peu connu. Honneur au viseur optique, réellement confortable bien qu’affichant 98% du champs seulement. Considérer ce qui est hors du champs du viseur comme un peu de sécurité… Les deux optiques que j’ai utilisée sont énormes (et à grande ouvertes) ce qui laisse passer beaucoup de lumière dans le viseur. On voit large et clair et ça fait aussi partie du plaisir de photographier. Le verre dépoli est interchangeable un oeilleton en caoutchouc large (non visible ci-dessous) est proposé… Et un niveau électronique est même disponible dans le viseur (ainsi qu’en visée Live View sur l’écran). Lire la suite.

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Belle bête !
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Test terrain du Panasonic 7-14mm f/4 ASPH G : ultra grand angle

1 juin 2015
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S’il n’existait qu’une seule bonne raison d’utiliser un hybride micro 4/3 en complément d’un reflex, je crois bien l’avoir découverte… Et ce serait probablement : l’incroyable zoom ultra Grand angle «orthoscopique» Panasonic Lumix G VARIO 7-14mm F4.0 ASPH (de son vrai nom).

 

 

Il s’agit de l’objectif micro 4/3 le plus étonnant et le plus extrème qui soit… Probablement le plus sexy aussi ! Un objectif injustement méconnu, sorti en 2009 déjà… et dont vous n’avez pourtant pas souvent entendu parler. Il semblerait que Panasonic n’ait jamais assuré la promotion qu’il mérite, alors qu’il présente d’indéniables qualités : ouverture constante (f/4), bonne qualité d’image (globalement), poids de 300 grammes seulement et encombrement hyper réduits (vu la plage focale couverte)… Prix (parfois) raisonnable, du moins comparé à ses paires en APS-C et full frame.

Lumix G VARIO 7-14mm F4.0 ASPH B

 

Plus léger, plus compact, car micro 4/3. Tout le monde sait que l’on n’achète pas un micro 4/3, pour s’emmerder avec un viseur électronique. Les viseurs électroniques restent l’un des principaux handicapes de ce système : en 2015 les meilleures EVF sont de véritables horreurs, je ne comprends pas ceux qui prétendent le contraire… Dès que l’on travaille en plein soleil, on est « à l’ouest »… Et après quelques jours l’oeil se fatigue, à cause de la faible luminosité du viseur qui reste bien plus sombre qu’une scène ensoleillée. Pas la peine d’insister davantage. Lire la suite !

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Plus léger, plus compact...