Street photo : oubliez ces tabous photographiques !
Beaucoup de photographes qui se lancent dans la street photographie s’imaginent “des choses”… Ainsi, pour être un photographe de rue il faudrait obligatoirement voler les photos sans jamais demander la permission… Ou shooter exclusivement en Full Frame.
Ou encore travailler toujours en en noir et blanc. Ou même n’utiliser que des focales fixes… Et bien entendu au final : ne jamais recadrer ses images, ni les ajuster un peu dans Lightroom ou Photoshop… Balivernes et billevesées ! Autant de légendes que je vous propose de mettre en pièce. En ce dimanche après-midi, je rédige cet article (sur le très bon clavier de mon minuscule MacBook Air M1 qui est une petite merveille lisez mon test terrain pour vous en convaincre) : bien installé au soleil sur un banc dans un parc à Paris, ceci même si il fait encore un peu frais… Mais ça sent le printemps et ce n’est pas dommage ! Alors oui, je sais… Par ce beau soleil, je devrais plutôt être en train de faire de la “street photo”… Mais voilà : ma définition de la street photo commence par ce préalable, “ne faire des photos que lorsque j’en ai vraiment envie”.
J’ai une vision de la street photo assez restrictive, elle devrait rester un jeux : juste une activité facultative et plaisante. Je réserve la street photo aux jours de printemps ; à condition de n’avoir rien de plus intéressant à faire. Et à certains jours de pluie éventuellement : comme un défi (réussir de bonne photos sous la pluie est bien plus difficile que ce que l’on raconte sur internet)… Et bien entendu il n’existe aucune définition préalable, de ce que devrait être (ou ne pas être) la street photo. C’est à chacun de se faire sa propre définition, d’ailleurs pour moi : Street photo et photo de voyage, se recoupent largement… J’attends vos réflexions à ce sujet en commentaires… Lire la suite de l’article…
Oubliez ces idées reçues...