Test terrain extrême du Canon EOS 50D (part 2)
Sur le papier le Canon EOS 50D m’a semblé être le reflex idéal pour ce job assez particulier qui consiste à suivre des skieurs en poudreuse ou dans des couloirs à pics… Sans tomber ni me ruiner le dos ou les genoux. Revue de détails techniques qui font l’intérêt de ce boîtier très équilibré.
La sensibilité de base s’étend de 100 à 3200 ISO avec deux positions étendues de 6400 et 12800 ISO pour la forme (qu’il est nécessaire d’activer la position H dans les Fonctions personnalisées). À noter qu’une sensibilité ISO automatique avait fait son apparition sur l’EOS 40D, c’est une nouveauté chez Canon qui peut s’avérer pratique dans certaines circonstances (photo de spectacle par exemple).
Malheureusement, dans ce cas la sensibilité maximale est toujours limitée 1600 l’EOS 50D. C’est vraiment dommage que l’on ne puisse personnaliser davantage cette fonction en lui fixant une limite haute et basse (ce que propose le Nikon D300). Décidément, Canon est toujours un peu “radin” avec les personnalisations avancées, ce qui gâche parfois un peu le plaisir des experts. Lire la suite…
"radin" avec les personnalisations avancées...