Author vibertphoto.com

Jean-François Vibert débute sa carrière de journaliste et photographe en 1991 parallèlement à des études d’Art Plastique à l'Ecole Normale Supérieure. Il a notamment parcouru l’Asie au cours de reportages commandés par de nombreux médias. La Birmanie, l’Indonésie, le Ladakh, ou le Japon, comptent parmi ses destinations favorites… Au cœur de ses nombreux centres d’intérêts photographiques : des paysages et de nombreux portraits « solaires », toujours sur le vif et en lumière naturelle. Mais aussi des couleurs naturelles et vibrantes qui s’expriment à travers des compositions très picturales... Depuis 2012, il propose des « ballades photographiques » à Paris et des « voyages photo » en Asie : destinés aux photographes débutants ou experts, ces « workshop » en très petits groupes permettent de découvrir cultures et populations locales en s’éloignant des sentiers battus : destinationphoto.com Lorsqu’il n’est pas en voyage, il partage son temps entre son blog (photoetmac.com) et des stages de formation à « Lightroom » qu'il dispense pour le compte de photographes, d’entreprises ou d’écoles de photo… Il est considéré comme un des meilleurs experts Français des logiciels de traitement RAW et de gestion de photothèque. Découvrez ses photos sur : www.vibertphoto.com

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Le livre d’un photographe “Chaque heure compte, la dernière tue”

Je tenais à vous présenter Chaque heure compte, la dernière tue (Broché) 25€ : le livre de photojournaliste Patrick Robert (une douzaine de prix internationaux, dont deux Visa d’or au festival international de photojournalisme de Perpignan) qui a été publié il y a quelques semaines et dont j’ai commencé la lecture passionnante…

Le titre et la couverture annoncent la couleur : une photo prise lors de la guerre civile au Libera en Juillet 1990 : “un crâne humain est fixé sur la calandre d’une voiture comme un trophée”. Ce livre relate l’aventure d’une vie et parle aussi d’un métier qui est en train “de changer” et qui est peut-être en train de disparaitre, (du moins sous la forme que nous connaissions). C’est passionnant, on “embarque” avec lui : “Ma trajectoire erratique, que je tentais de piloter comme je pouvais, a fini par percuter une balle de Kalachnikov au Liberia et j’ai dû lui concéder un rein et quelques décimètres d’intestin, pièces d’anatomie somme toute superflues. En échange, on m’a entièrement transfusé avec du sang africain et c’est grâce à lui que mon cœur a pu redémarrer. J’ai donc avec l’Afrique un composant intime”. Lire la suite…

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Mes Profiles pour Fujifilm en version 3.0

Grosse mise à jour sur la boutique de profiles il y a quelques jours : tous les profiles Lightroom pour les APN Fujifilm ont été mis à jour en version 3.0 (à l’exception des X-T10, X-T20, X-T30, X-T100 et X-T200)

Ce sont de meilleurs profiles, plus subtiles et mieux “étagés” qui devraient vous donner de meilleurs résultats. Il s’agit de nouveaux profiles qui ont demandé beaucoup de travail, je ne peux donc les “offrir” comme une mise à jour.

Mais si vous aviez acheté les anciens profiles et désirez la nouvelle version : vous aurez droit à une remise de 20 € en m’envoyant un mail. Et vous recevrez en retour un code de réduction à appliquer au moment de l’achat. Par ici les nouveaux profiles V3.0 :

         8 Profils pour Fujifilm X-H2 et Fujifilm X-H2 S – 59€

         8 Profils pour Fujifilm X-S10 et Fujifilm X-S20 – 59€ 

         8 Profils pour Fujifilm X-T5 – 59€ 

         8 Profils pour les fichiers RAW du Fujifilm X-T4 – 59€ 

         8 Profils pour Fujifilm X-T3, Fujifilm X-T2 et Fujifilm X-T1 – 59€ 

         8 Profils pour Fujifilm X100V, X100F, X100T, X100S et X100 – 59€ 

         8 Profils pour Fujifilm GFX 100 II – 93€ 

         8 Profils pour Fujifilm GFX 50R, Fujifilm GFX 50S et Fujifilm GFX 50S II 93€ – 79€ 

         8 Profils pour Fujifilm GFX 100 et Fujifilm GFX 100S 93€ – 79€ 

 

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LOGICIEL : Tous les autres
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Photo Mechanic passe lui aussi à l’abonnement

Souvenez-vous les débat enflammés en 2017, lorsque Lightroom Classic passait à une formule abonnement, en abandonnant la formule de “Licence définitive”… Ce qui avait été jugé scandaleux par de nombreux utilisateurs (Débat : Lightroom Classic CC uniquement en abonnement). 

C’est aujourd’hui (6 ans plus tard) au tour de l’éditeur Camera Bits d’annoncer que l’inoxydable Photo Mechanic passait finalement à l’abonnement lui aussi… Les licences perpétuelles de Photo Mechanic 6 et de Photo Mechanic Plus ne recevront plus de mises à jour majeures, ni de nouvelles fonctionnalités. Relire d’ailleurs cet article de décembre 2022 : Capture One n’offrirait plus de nouvelles fonctions aux Licences définitives. Le combat pour les licences définitives est-il un combat d’arrière garde ? Le monde a-t-il à ce point changé, que l’abonnement deviendra obligatoire pour tout ? Ce seront aux acheteurs de trancher…

Si des aternatives crédibles existent qui permettent de se passer d’abonnement : elle emporteront la décisions des acheteurs. Mais si ces alternatives ne sont pas crédibles (ou technologiquement dépassées) : alors ce seront les éditeurs devenus “profitables” grâce aux abonnement, qui séduiront les acheteurs, car ces éditeurs proposeront de “meilleurs logiciels” pour lesquels “cela vaudra le coup de s’abonner”… Lorsque l’on constate les progrès des dernières versions de Lightroom et Lightroom Classic depuis 3 ans : on se dit que le principe de l’abonnement a probablement été “plébiscité” par les utilisateurs.

Vos commentaire par ici SVP ! Et je vous laisse découvrir ci-dessous leurs explications di dessous : Communiqué de Camera Bits (traduction en Français par Chat GPT) : 

Camera Bits va bientôt cesser de vendre Photo Mechanic sous forme de licence perpétuelle pour passer à un modèle d’abonnement. Quelle est la différence entre une licence perpétuelle et une licence d’abonnement ?

Photo Mechanic était vendu sous forme de licence “perpétuelle”. Cela signifie que vous payez une fois pour une licence et que vous pouvez l’utiliser aussi longtemps qu’elle est compatible avec votre système d’exploitation. Si vous mettez à jour le système d’exploitation de votre ordinateur et avez besoin de mettre à jour Photo Mechanic, vous devez alors acheter une nouvelle licence. Lire la suite

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Les photographes doivent se défendre contre les “voleurs d’images”

Il y a longtemps que nous n’avions pas parlé de “droits d’auteur” mais ce soir c’est le moment : je ne sais pas pourquoi cette histoire m’a énervé… Andy Warhol était peut-être un génie créatif – disons un génie de la com et de la pub – mais il était aussi un “voleur d’images” et spécifiquement un voleur de photos, comme l’a confirmé la justice Américaine.

Comme pas mal d’artistes contemporains soit dit en passant, qui faute de créer des oeuvres originales intéressantes, savent en “voler”, en “sampler”, etc… Pour transformer le travail des autres en dollars. Depuis les années 80 le marché de l’Art contemporain est devenu une “énorme et scandaleuse histoire de fric”… Je ne m’en prends pas à l’Art en général ; mais je vise bien entendu ce “marché de l’Art contemporain international” et ces “artistes surcotés” qui sont d’abord d’authentiques business man, autour desquels gravite une industrie “lucrative”…

Dans pas mal de pays (dont le notre), le marché de l’Art contemporain se résume en un “efficace système d’évasion fiscale” (Impôts : les œuvres d’art, une niche fiscale XXL) et même d’après les spécialistes : en un authentique système International de “blanchiment d’argent sale” (Scandale des Pandora Papers : l’art n’échappe pas à la fraude fiscale internationale).

“Les spécialistes sont de plus en plus nombreux à penser que l’envolée spectaculaire des prix des oeuvres d’art est en partie alimentée par le recyclage d’argent sale.” Blanchiment : la part d’ombre du marché de l’art – Les Échos.

Voilà probablement ce qui a rendu l’Art contemporain aussi vain de nos jours : vaniteux, creux et inintéressant (d’un point de vue artistique)… Et voilà pourquoi l’on doit subir des productions aussi ridicules que celles de Jeff Koons qui encombrent l’espace publique, sans que personne ne les ai souhaité. Lisez d’ailleurs cette histoire pathétique du mariage de Jeff Koons et de la Ciciolina et constaterez à quel point ça ne vole pas haut… L’Art contemporain au 21 siècle, c’est décadent (mais non, ce mot n’est pas interdit : il dit ce qu’il veut dire), vulgaire, grandiloquent, pompier et surtout : extrêmement coûteux pour le contribuable…

Mais terminons-là cette parenthèse à propos de cette “malédiction artistique” et passons à la nouvelle du jour… Qui concerne la photographe Lynn Goldsmith victime de l’avidité de la fondation Warhol. Elle en est réduite aujourd’hui à collecter des fonds pour couvrir les frais de justice monstrueux, liés à sa victoire judiciaire dans l’affaire de ses droits d’auteur qui avait effectivement étés violés par Andy Warhol : le soit-disant “artiste” ayant volé sans autorisation le portrait de Prince, qu’elle avait réalisé.

TAKE PART IN LEGAL COSTS TO PROTECT ARTIST’S RIGHT

Cette victoire obtenue après sept années de combat : l’a ruiné, Lynn Goldsmith a été contrainte de vendre sa maison.. La photographe a pourtant remporté son procès devant la Cour suprême des États-Unis face à la Fondation Andy Warhol (qui représente les intérêt de l’artiste décédé décédé en 1987 et qui est l’organisation artistique la plus riche au monde). David contre Goliath.

Mais les frais de justice se sont élevés à plus de 2,5 millions de dollars… Le pire est en fait que c’est la succession de Warhol qui avait attaqué Goldsmith car elle estimait que Warhol avait violé son droit d’auteur. En quelque sorte une “frappe préventive” contre la photographe, qui explique :

“En plus, ce n’est pas moi qui les ai poursuivis, c’est eux qui m’ont poursuivie. Non seulement je voulais résister à l’intimidation – les personnes riches ainsi que les entreprises ou fondations peuvent armer le système juridique pour obtenir des droits – mais tous les photographes en avaient assez des gens qui pensaient pouvoir simplement prendre des choses sans permission”. Lire la suite

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Quel Mac portable choisir : MacBook Pro M3, MacBook Air M2 ? Ou M1 ?

Pour travailler nos photo en cette fin 2023, nous avons l’embarras du choix pour choisir un portable Mac… Faut-il craquer pour le petit MacBook Pro M3 de base annoncé le 31 octobre dernier ? Ou alors préférer le MacBook Pro M3 Pro en version 14 pouces, ou même en 16 pouces ?

Sinon un simple MacBook Air M2 15 pouces pourrait-il faire l’affaire ? Ou encore un MacBook Air M2 plus raisonnable en 13 pouces ? Ou carrément le modèle 2020 de MacBook Air M1 13 pouces afin de ne pas se ruiner ? Sans oublier d’éventuels MacBook Pro M2 Pro que vous trouverez en fin de série, ou même en occasion car ces modèles sont extrêmement récents : ils n’ont été présentés qu’il y a 10 mois…

Jetez un oeil au traditionnel tableau comparatif chez Apple qui vous permettra de comparer ce modèle face aux modèles M3. Pour autant, restez conscient que d’autres petits progrès (en dehors de la question des processeurs) ont été réalisés en passant des M2 aux M3. Par exemple : 

• Lorsque l’affichage est de type SDR Standard (non HDR), on remarque le passage à une luminosité d’écran un peu plus élevée de 600 Nits au lieu de 500 Nits maximum sur la génération M1 / M2. Ce n’est pas énorme, mais à l’extérieur (installé sur votre terrasse confortablement) : c’est un “petit plus” de 20% tout de même… Il est assez possible qu’il ne s’agisse que d’une modification logicielle du pilotage de l’écran : puisque des petits logiciels permettaient déjà de “débrayer” les 500 Nits maxi des modèles M1 et M2…

• Apple à très légèrement “arrondi” le bord des des entrées USB-C sur les M3 : ainsi on peut espérer que le revêtement de surface sera moins “marqué” à force de branchements des câbles

• Apple a aussi ajouté la prise en charge matérielle de la technologie 3D de “Ray Tracing” sur les M3 : ce qui intéressera les amateurs de 3D ou de jeux (mais ne perdez pas votre temps à jouer : c’est pour les débiles).

Maintenant, voyons au cas par cas : les avantages et inconvénients de chacunes de ces 6 options… Les configurations que je déconseille : en rouge  ❌  et celles que je recommande sont cochées  ✅  en vert.

1 – MacBook Pro M3 de base : la bonne affaire avec quelques réserves… Ce modèle remplace avantageusement l’ancien MacBook Pro 13″ à Touch Bar : on ne le regrettera pas celui-ci… Mais attention, si ce premier modèle M3 de base n’est pas très cher, c’est aussi car il souffre de quelques limites qu’il faut absolument contourner :

• Une configuration à 8 Go de RAM au départ ❌  ça non !  A fuir c’est vraiment très insuffisant pour travailler sérieusement avec Lightroom. Ne faites pas la très grosse bêtise de vous limiter à seulement 8 Go de RAM… Budgétez un minimum de 16 Go ou mieux 24 Go.

• Et malheureusement sur ce modèle M3 : ces 24 Go seront le maximum possible, j’aurais préféré 32 ou 36 Go, ce qui aurait rendu cette machine plus “réaliste”. Alors ces 24 Go suffiront pendant quelques années… Mais dans 4 ou 5 ans vous allez peut-être commencer à souffrir et à regretter de ne pas avoir opté pour 32 ou 36 Go. Surtout si vous êtes de ces personnes qui “oublient de quitter” leur navigateur pendant qu’ils travaillent sur Lightroom… Et si vous “remplissez systématiquement votre disque dur à bloc” : alors le “swap” de mémoire sur le disque pourrait être ralenti.

• Un seul ventilateur : heureusement, cela ne  sera pas trop grave pour la plupart des gens… Sauf si vous travaillez de façon “ultra intensive”, ou dans un environnement caniculaire…

• Un SSD un “poil moins” rapide que sur les modèles M3 Pro…  Mais rassurez-vous, la différence n’est pas si grave : rien à voir avec la vitesse scandaleusement “divisée par deux” qui séparait les anciens Modèles 256 Go des plus gros SSD.

• Seulement deux ports USB 4 / Thunderbolt… Et ces deux sont tous les deux situés à gauche, ce qui peut s’avérer gênant dans certains cas, sur un bureau étroit par exemple… Autre cas (qui vous semblera étrange) : lorsque je suis bien calé au fond de mon canapé (car je ne déteste pas travailler sur mon Mac depuis mon canapé) et bien il m’arrive de croiser les jambes… Et dans ce cas, je préfère brancher le câble USB du côté opposé à la jambe “du dessus”… Mais lorsqu’au bout d’un moment je dois changer de côté et bien je préfère change mon câble de côté aussi ! On peut évidement améliorer un peu cela en utilisant des câbles “coudé”… Mais quand même : c’est un cas de figure bien concret.

• Un seul écran externe à la fois : une limitation que l’on connaissait sur les processeur M1 et M2 de base… Mais qui pour la plupart des gens ne sera pas un problème : vous ne brancherez qu’un seul écran externe à la fois. Dans ce cas prenez-le assez grand : pas moins de 32 pouces.

Au final ce  MacBook Pro M3 base est une solution intéressant financièrement, à condition de ne pas se limiter à 8 Go de RAM : ce serait une mauvaise affaire. Vous en seriez ralentis. Lire la suite…

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10 ans après le Sony A7 : le Sony A9 III est révolutionnaire

Sony vient de présenter le nouveau Sony A9 III : tout premier appareil photo au monde à disposer d’un capteur à obturateur global (global shutter) de 24.6 Mpixels et d’une rafale à 120 im/sec (excusez du peu) ; qui sera disponible début 2024 pour 6 999 €…

Il y a 10 ans Sony présentait le premier A7 Full Frame (le 16 octobre 2013)… Cet appareil (que j’avais essayé), était une horreur face aux reflex de cette époque… Mais que de chemin parcouru en une petite décennie.

Dans un avenir proche ce type d’obturateur global (qui supposons-le arrivera bientôt chez d’autres constructeurs) ; va révolutionner la photo sportive professionnelle et la vidéo. Cela fait de nombreuses années que l’on attendait l’arrivée du premier “Global Shutter” : le voici… Avec par exemple dans le cas du Sony A9 III : une vitesse d’obturation pouvant atteindre 1/80.000 sec à la cadence infernale de 120 im/sec. Ceci avec suivi autofocus, sans perte de dynamique (et sans autres limitations semble-t-il)… A la cadence de 120 im/sec la durée de rafale est de 1,6 secondes, ce qui signifie 192 photos. C’est fou !

Un changement d’époque que cet obturateur Global. Qui permettra une absence totale de distorsion (Rolling Shutter) tant en photo qu’en vidéo… Il permettra aussi une fonction de pré-enregistrement afin de capturer le moment “décisif” précédant le déclenchement. Cela existe déjà bien entendu ! Mais cette fonction sera disponible jusqu’à 120 images par seconde : ce qui n’est pas tout à fait la même chose… Pour une meilleur utilisation de cette vitesse incroyable, Sony a d’ailleurs imaginé un astucieux bouton Speed Boost (situé à l’avant de l’appareil : c’est le bouton “C5” qui permettra d’accélérer temporairement la cadence). Lire la suite…

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Canon RF 200-800mm f/6.3-9 IS USM un télé zoom accessible

La seconde annonce du jour qui va intéresser du monde est le Canon RF 200-800mm f/6.3-9 IS USM un télé zoom accessible… vendu au prix “canon” de 2 419 € seulement. Moi je trouve ça pas mal ! Vous en pensez quoi ? Vos commentaires par ici…

De quoi démocratiser la chasse photographique… Par ici ses caractéristiques détaillées., mais retenez principalement celles-ci : 

• Longueur focale :  jusqu’à 800 mm.

• Stabilisation d’image : peut atteindre 5,5 stops.

• Compatibilité avec les rallonges télé Canon RF 1,4x et 2x en option.

• Conception résistante aux intempéries.

• Monture de trépied rotative. Lire la suite par ici…

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Canon RF-S 10-18mm f/4.5-6.3 IS STM : zoom ultra grand angle APS-C

Et voici comme espéré le petit Canon RF-S 10-18mm f/4.5-6.3 IS STM… Un zoom ultra grand angle APS-C extrêmement compact et peu coûteux : seulement 399 €.

Par ici ses caractéristiques détaillées. De quoi satisfaire les acheteurs des Canon EOS R7, EOS R10, EOS R50 et EOS R100… Qu’en pensez-vous ? A retenir : 

• Zoom ultra grand-angle de 10-18 mm (équivalent à 16-29 mm sur un appareil plein format).

• Stabilisation d’image, pour une netteté accrue en mode main levée et une vidéo stable.

• Conception compacte et légère, idéale pour les déplacements.

• Une nouvelle conception optique, optimisée pour la monture RF et la taille du capteur APS-C.

• Un prix abordable pour ceux qui se lancent en ultra grand-angle. Par ici pour lire la suite.

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Canon RF24-105mm F2.8 L IS USM Z : un zoom pro unique au monde

La star de la journée est bien entendu ce très innovant Canon RF24-105mm F2.8 L IS USM Z : un zoom pro unique au monde…  Il n’est pas léger (1,43 kg… par ici ses caractéristiques détaillées), il n’est pas bon marché non plus (3 599 €)… Vos commentaires sont bienvenus.

Ce nouveau 24-105 mm f/2.8 : c’est comme un 24-70 mm f/2.8 qui aurait avalé… un tiers de 70-200 mm f/2.8 ! Ce qui est un bel exploit ! Il fera la différence et ceux qui en auront besoin, savent déjà pourquoi ils en auront besoin ! … A cette occasion, inaugure une nouvelle gamme “Z” situé au confluant des domaines de la photo, de la vidéo et du cinéma… Comment ça “Z” et pourquoi ? C’est en fait pour “Power Zoom compatibility”… Un choix plutôt discutable (ils auraient pu choisir autre chose tant qu’à faire)… tant il y a un risque de confusion avec les gammes Nikon Z.  Lire la suite…

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MacBook Pro 14″ M3 et M3 Pro : comment Apple a tué les M2 âgés de 10 mois

Voici donc en ce 31 octobre 2023, une nouvelle génération de MacBook Pro 14″ et 16″ équipés de la  – tant espérée – puce Apple Silicon M3 gravée en 3 nm par le fondeur Taïwanais TSMC… Une dizaine de mois seulement après la présentation des MacBook Pro 14″ et 16″ à processeurs M2 (en janvier 2023).

On peut dire qu’ils n’auront pas vécus très longtemps ces MacBook Pro M2 : des modèles à peine plus évolués que leurs prédécesseurs les M1… Qui eux par contre, avaient connu une durée de vie plus longue, puisque les premiers MacBook Pro 14″ et 16″ M1 avaient étés présentés en octobre 2021

 

 

On peut comprendre l’agacement des acheteurs de MacBook Pro M2 (j’en connais) :  qui venaient juste d’acheter leur “précieux”… (relisez cette page ou nous détaillons les avantages du MacBook Pro M2 par rapport à son prédécesseur M1). Les voir ainsi déjà remplacés (et ringardisés peut-être ?) par de nouveaux modèles M3 cette fois-ci réellement plus puissants : ça doit énerver !

Tant pis pour eux, la génération des M2 aura brulé comme un feu de paille et tant mieux pour ceux (comme moi) qui ont patienté.. Ils vont pouvoir profiter des processeurs M3 gravés (enfin) en technologie 3 nm. Qui délivrent théoriquement plus de puissance à consommation égale. Ou Consomment moins à puissance égale. Jetez donc un oeil au traditionnel tableau comparatif chez Apple qui vous permettra de comparer le modèle que vous utilisez actuellement, avec les nouveaux modèles M3.

Un mot rapide concernant les iMac M3 en 24 pouces présentés hier, je vous renvoie à cet article : Nouveaux iMac M3 : mais pourquoi en 24 pouces seulement ? Remarquons que dans leur cas, Apple à carrément “sauté l’étape M2.. Et peut-être Apple aurait-elle du faire ce choix également pour l’éphémère génération de MacBook Pro M2 ? Mais j’aurais eu plus de mal à trouver un titre accrocheur. Lire la suite…

ACTU : matos photo, divers
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Surprise : Canon RF 24-105mm f/2.8L IS USM Z cette semaine ?

Ce serait pas moins de trois objectifs Canon RF ou Canon RF-S que Canon pourrait annoncer ce jeudi 2 novembre 2023. Nous avions déjà entendu parler du Canon RF 200-800mm f/6.3-9 IS USM destiné aux EOS R Full Frame… Et du RF-S 10-18mm f/4.5-6.3 IS STM, destiné aux EOS R à capteurs APS-C

Le troisième objectif pourrait être une vraie surprise : un incroyable zoom professionnel RF 24-105mm f/2.8L IS USM Z, d’après The Camera Insider… Qui a publié une image de très médiocre qualité. On remarquera le collier de trépied qui est probablement inclus dans la boîte. Autre question : que signifie le “Z” dans le nom supposé de l’objectif ? Intrigant…  Lire la suite…

 

 

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Nouveaux iMac M3 : mais pourquoi en 24 pouces seulement ?

Bonne nouvelle que l’arrivée ce mardi 31 octobre 2023, des nouveaux iMac 24″ à processeurs M3… Dont les prix ne changent quasiment pas (+ 50 € seulement), alors que les performances bondissent (doublent plus ou moins dans certains domaines). Qui peut s’en plaindre ?

Bien évidement la grande nouveauté est le passage à la “gravure en 3 nm” tant espérée depuis deux ans, qui caractérise ces nouveaux processeurs M3… Processeurs que l’on retrouve également sous la forme des A17 sur les iPhones 15 Pro. Arrive également grâce aux M3, la possibilité de booster la RAM jusqu’à 24 Go (plutôt que 16 Go au maximum sur les M1) : ce qui me semble une “obligation” si vous voulez utiliser confortablement Lightroom Classic V13 (et ses nouvelles fonction basées sur l’Ai).

La capacité maximale de 2To de stockage SSD reste par contre assez frustrante (mais l’on s’y attendait sur ce type de machines d’entrée de gamme)… Mais bon, admettons que sur un bureau il est assez simple de laisser branché “quasi à demeure”, un SSD externe de 2 ou 4 To. Ce qui reviendra beaucoup moins cher que d’acheter du stockage SSD interne chez Apple (toujours excessivement cher). Evidement, ce sera un peu moins élégant sur votre bureau…

– Toujours deux ports Thunderbolt/USB 4 et pas d’USB 3 sur la version de base (celle à partir de 1 599 €) : ce n’est pas “foufou” sur une machine de bureau ou il reste beaucoup de place vide à l’intérieur… Cette version limite le stockage à 1To de SSD au maximum.

– Il faut préférer la version “intermédiaire” (à partir de 1 829 €) pour bénéficier de 2 ports USB 3, en plus des 2 ports Thunderbolt/USB 4. Cette version autorise de monter le stockage à 2To.

L’écran de 4,5 K n’est pas plus lumineux ni plus contrasté que celui du M1 : seulement 500 Nits au maximum. Le reste de la machine n’évolue pas à ce que j’ai pu en lire… Ces progrès mesurés de l’équipement, sont un peu frustrants. Mais l’iMac M1 était déjà une excellente machine dès le début il faut bien l’avouer.

Radin : dans la version de base de l’iMac M3, Apple n’inclu pas en standard le clavier Touch ID (que je considère pourtant indispensable : achetez-le absolument en option pour 50 € de plus). Heureusement dans les version plus couteuses, il est inclus.  Lire la suite…

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