Voila quelques temps, Déclic Photo publiait mon test terrain complet du Nikon D7000 au Spitzberg… (à ne pas louper également, les tests terrains des derniers reflex Canon EOS 550D, EOS 60D et EOS 7D et du Fuji X100). Pour les lecteurs les plus passionnés, voici la version longue en 4 épisodes :
- Test terrain Nikon D7000 au Spitzberg (part 2).
- Test terrain Nikon D7000 au Spitzberg (part 3).
- Test terrain Nikon D7000 au Spitzberg (part 4).
- Galerie de 180 images du Spitzberg avec le Nikon D7000.
… partie 1 sur 4 :
Test terrain : Nikon D7000 au Spitzberg
Afin de tester le Nikon D7000 dans ses moindres détails et évaluer ses qualités en conditions extrêmes, nous avons embarqué à bord de l’Albarquel pour deux semaines d’expédition polaire au delà du 79em parallèle… Une heure du mat, 100 ISO au compteur. Nous débarquons à Longyerbyen sous le soleil de minuit… Il est rare de travailler à 100 ISO à cette heure. Situé à 79° de latitude (équivalent du Nord du Groenland), 1000 km sous le Pôle Nord, Longyerbyen est la capitale étrange et minuscule du Spitzberg île principale du Svalbard, un archipel qui compte plus d’ours blancs que d’habitants.
Avec ses lumières changeantes, ses rennes, ses ours, ses oiseaux le Spitzberg est un Graal pour photographes paysagistes et animaliers. D’autant que le jour y est permanent une bonne partie de l’année. On ne s’arrêterait jamais ! Du coup, en 20 jours (et nuits) j’y ai commis pas moins de 15.000 images ! Record battu (bien encouragé par une cadence de 6 images / sec)… Il fallait bien ça pour tester le Nikon D7000 accompagné de quelques excellentes optiques, afin de vérifier si le petit « expert » de Nikon est également capable de satisfaire à des exigences professionnelles.
Une mission qui lui échoit de droit en attendant qu’un D400 succède au D300s, dont les 12 Mpix nous laissent un peu sur notre faim en cet été 2011… Trois ans après la sortie du D300s (et cinq ans après celle du D300), on constate en effet que la résolution d’une majorité de reflex évolue désormais entre 16 et 18 Mpix.
Fiche technique au top
La fiche technique du D7000 (accessible entre 950 et 1000 €), est l’une des plus complètes qui soit. Aucun boîtier n’en offre autant pour ce prix-là et l’on serait tenté de parler de reflex semi professionnel. Il propose 16 Mpix, une cadence de 6 im/sec (sur 9 RAW), la vidéo Full HD et un exceptionnel viseur 100% dont le quadrillage optionnel est assez précieux en mer… De bonnes raisons qui ont conduit le jury EISA à lui décerner le prix du meilleur Reflex Avancé 2011 / 2012.
Ajoutez à cela une construction rassurante pour les baroudeurs susceptibles de travailler en conditions extrêmes… Certes, son étanchéité n’est pas aussi avancées que celle d’un D300s, mais il est censé résister aux projections, de quoi affronter en théorie, les embruns, le sel et des températures parfois négatives, d’autant que la batterie est relativement endurante.
C’est donc sans appréhension que nous embarquons pour vingt jours d’expéditions sur l’Albarquel, un vieux gréement construit en 1957 qui accueil huit passagers et trois matelots. Il nous mènera jusqu’au au 80em parallèle, à l’extrémité Nord de l’archipel du Svalbard. Si le soleil nous avait accueilli à l’arrivée, le temps s’est ensuite dégradé durant trois jours et j’ai réalisé mes premières images en mer sous une petite bruine, particulièrement glaciale et pénétrante… Brrr !
La résistance du boîtier fut ainsi immédiatement mise à l’épreuve et je n’ai déploré aucuns problèmes particuliers. Par contre certains de mes compagnons on constaté de la buée à l’intérieur de leurs objectifs (de toutes marques), ce qui est classique lors de chocs thermiques. Ce n’est pas bien grave, elle disparaît dès que l’on replace l’appareil au frais. L’erreur à ne pas faire, est de rentrer dans le bateau sans protéger son boîtier glacé. Il faut d’abord le ranger dans son sac (à température externe). Puis rentrer l’ensemble fermé dans le bateau et attendre un certain temps avant de l’ouvrir, afin que le sac et le boîtier se réchauffent doucement…
Généreux mais compact
Face à un D300s, le Nikon D7000 est plus compact, mais conserve une prise en main absolument impeccable… D’ailleurs, je n’ai pas hésité à l’utiliser à main levé avec l’imposant 200-400 mm f/4 (lire encadré). Mais dans ce cas, mieux vaut ne pas soulever l’ensemble par la poignée, car la structure du boîtier n’est pas métallique seuls les carters de protection le sont…
Après quinze ans de voyages, d’aéroports, de sorties en mer, de plongée ou de randonnées, je considère d’ailleurs les questions de « prise en main » secondaires. Car tous les reflex experts (ou presque), sont parvenus à un certain niveau d’excellence sur ce plan. Donc, les seuls progrès qui m’importent véritablement, sont dorénavant les gains de poids et de compacité en regard d’une résolution toujours plus élevée…
Car le meilleur boîtier est celui que l’on hésite jamais à emporter avec sois. En ce sens le Nikon D7000 est parvenu à un compromis beaucoup plus intéressant qu’un D300s. Il reste pour autant un expert à part entière, avec une visée optique très confortable, tous les boutons de commande directes nécessaires sans négliger l’écran LCD monochrome sur le haut du capot (que d’autres on sacrifié depuis longtemps). J’ai également apprécié la discrétion de son déclenchement, exceptionnellement velouté. De plus, le D7000 dispose d’un mode silencieux (Quiet), intéressant pour photographier certains animaux, ou l’intérieur d’un temple ou d’un théâtre…
Si l’on désire plus compact encore, on peut évidemment préférer des reflex de la classe inférieure : les D5100 et EOS 600D. Mais attention, le jeux n’en vaut pas forcément la chandelle car vous perdez quelques options avancées et boutons indispensables. Notamment dans le cas du Nikon D5100 bien trop simplifié à mon goût et dépourvu de testeur de profondeur de champs. Il s’est ainsi creusé un gouffre inexplicable entre D5100 et D7000. Alors que chez Canon, l’EOS 600D s’est au contraire rapproché de l’EOS 60D jusqu’à le concurrencer…
Equipements fort pratiques
Mon premier contact avec son viseur fut très positif et j’ai pu travailler sur les glaciers, tout en conservant mes lunettes de soleil… Voilà un test fatidique que les viseurs (et les écrans) doivent réussir impérativement, avant que je sois convaincu de les adopter ! A noter que la plupart des APN imposant la visée écran échouent au test de mes Ray-Bans à verre polarisant…
Le pentaprisme du D7000 offre une visée 100%, avec grossissement de x0,94 et un dégagement optique confortable. En progrès face au D90, dont la visée était de 96% avec un grossissement x0,94. C’est d’ailleurs avec des optiques n’ouvrant qu’à f/4 ou f/5.6, que l’on appréciera particulièrement la différence face à des viseurs bas de gamme. A recommander aux débutants !
L’horizon artificiel dans le viseur s’est montré utile sur pied. Mais ce que j’ai trouvé plus utile encore (par dessus tout), c’est l’affichage optionnel d’un quadrillage dans le viseur, qui permet d’épargner de précieux pixels lors des recadrages. Pour un photographe « marin », un tel quadrillage est indispensable, même s’il interdit tout changement de verre dépoli. A noter que le Canon EOS 60D (concurrent du D7000) est dépourvu du quadrillage optionnel mais peut accueillir un verre optionnel quadrillé, ou un verre à dépoli facilitant la mise au point manuelle.
J’ai ensuite beaucoup apprécie le double slot de cartes SD / SDH / SDX, qui permet de ne pas compter ses coups. Notamment en photo animalière, ce que j’ai expérimenté à plusieurs reprises lors de ce voyage (le D7000 atteint tout de même les 6 im/sec)… J’ai choisi le réglage en débordement : écriture sur la seconde carte dès que la première est pleine. Mais d’autres options très professionnelles sont disponibles : en miroir, répartition des RAW, JPEG et vidéos, ect… Lorsque la première carte est pleine, on peut la changer entre deux situations intéressante, bien avant d’avoir rempli la seconde… Ainsi, on évite ainsi tout risque d’être à cours d’espace lors d’une prochaine scène. Cela procure un grand confort et un sentiment de sécurité. J’étais équipé de deux cartes de 16 Go rapides et de deux cartes de 32 Go moins coûteuse. Au cas ou…
Ergonomie optimale
Dès les premières prises en main, l’ergonomie du D7000 m’est apparue efficace (il faut dire que Nikon ne prend pas beaucoup de risques en limitant le nombre d’innovations à chaque génération)… Cela commence dès l’allumage, avec le traditionnel bouton On/Off, accessible de l’index. Pourquoi tous les reflex ne sont-ils pas conçus ainsi ?
La prise en main comme d’habitude chez Nikon, est particulièrement voluptueuse avec un revêtement caoutchouté qui assure un confort fantastique. Une raison supplémentaire de préférer le D7000 à ses petits frères… J’ai pu ainsi travailler avec des gants lorsque la température négative l’imposait. Il n’y a pas grand-chose à reprocher au curseur du Live View, qui s’active rapidement. Une pression sur le bouton rouge permet de débuter l’enregistrement vidéo… D’autres constructeurs tournent depuis longtemps autour du pot, sans parvenir à cette évidence. Toutefois ce curseur est légèrement proéminent et il m’est arrivé de l’activer par erreur…
Etrangement, aucun loquet ne verrouille la molette des modes ! Et comme il fallait s’y attendre j’ai déploré quelques changements de Modes aléatoires (une fausse note ça). Comme chez Canon, la touche du testeur de profondeur de champs n’a pas de pictogramme, un peu comme si on voulait vous dissuader de l’utiliser, qui saura m’en expliquer la raison ? Par contre cette touche est paramétrable et l’on peut lui allouer une autre fonction (toutefois, se passer de testeur de profondeur de champs serait une drôle d’idée).
De multiples détails secondaires ont étés améliorés, par exemple ce petit ergo orange (copié sur Canon), qui même avec des gants permet d’éjecter la nouvelle batterie EN-EL15 (1900 mAh)… Nouvelles batteries dont l’autonomie de 700 image est parfaite et je n’ai jamais eu besoin de ma batterie de secours même par grand froid. Voilà un argument que beaucoup de photographes voyageurs oublient totalement de considérer au moment de s’équiper, certains reflex ne sont donnés que pour 400 images… Espérons pour ceux qui voyagent avec deux reflex, que ces batteries EN-EL15 seront reprises sur les futurs D400 et D800… Ajoutons que j’ai même apprécié le design astucieux du nouveau chargeur de batterie.
Pilotage ISO peut mieux faire
S’il est un point qui m’a déçu sur le D7000 (et globalement chez Nikon), ce serait le pilotage de la sensibilité ISO, pas au niveau d’un boîtier de cette classe… Commençons par la position du bouton ISO, peu pratique au dos du boitier. Je l’aurais préféré près du déclencheur avec un picot en relief (comme sur l’EOS 60D suivez mon regard), qui a l’immense intérêt de permettre de changer la sensibilité sans quitter le viseur de l’œil.
Autre surprise, ce D7000 n’affiche pas la sensibilité en permanence dans le viseur ! C’est gênant en ISO Auto, pour les photographes « control freaks ». Celle-ci n’apparait que lorsqu’on la modifie, ou lorsqu’on titille le déclencheur (à condition d’avoir activé une fonction perso)… Il est ensuite nécessaire de passer par les menus pour désactiver la Sensibilité Auto. Pas assez rapide je trouve… D’autant que ces Menus sont touffus, beaucoup de novices hésiteront avant de tomber sur la section qui héberge le réglage ISO Auto.
Idéalement, la manipulation d’une molette unique devrait permettre de passer simplement de ISO Auto, à l’une des valeurs ISO fixes (c’est le cas chez Canon). Il est toutefois possible de paramétrer la touche Fn configurable (accessible de la main droite), afin de lui attribuer la « première fonction de la liste des Menu personnalisé »… Menu qu’il faudra préalablement configurer avec le Réglage de Sensibilité Auto. Assez tordu, mais c’est tout de même un peu mieux comme ça. Bien que le passage par les Menus reste inévitable. La qualité d’image excellente jusqu’à 1600 ISO, vous invitera à faire une utilisation plus courante de la sensibilité Auto, j’ai d’ailleurs pris l’habitude depuis deux ans, d’alterner entre Sensibilité ISO fixes et Auto (lire encadré). Et c’est là qu’on découvre la dernière bizarrerie : changer de sensibilité si le mode ISO Auto est activé, n’affecte que la sensibilité Minimale… Fallait deviner.
Guide pratique : Croisère sur l’Albarquel avec GNGL
Construit au Portugal en 1957, le robuste Albarquel (albarquel.com) croise l’été au Spitzberg, et l’automne aux Lofotens (Norvège). Mené par un équipage de trois personnes, il accueil huit passagers et s’est révélé être une base itinérante idéale pour les photographes… Inscrit au patrimoine maritime National, ce vieux gréement hisse les voiles autant que possible en croisière, ce qui ajoute un peu de magie aux paysages incroyables du Grand Nord… Il est équipé d’une double coque et ses flancs sont renforcés pour résister aux glaces de l’Arctique… On dispose à bord du chauffage, de l’eau chaude et d’un groupe électrogène quasi silencieux qui permet de recharger batteries et ordinateurs au moins une fois par jour.
Deux excursions à terre sont proposées chaque jour. Le reste du temps, le pont dégagé est un observatoire de choix pour les paysages et de faune. On peut observer (selon votre chance) phoques, morses et parfois ours blancs, qu’il est conseillé de photographier à l’aide d’un 300 mm… Un grand angle et un 70-200 mm seront par contre suffisants pour tirer partie du défilé de glaciers, de fjords et de paysages qui rythment la navigation le long de la côte des 7 glaciers.
Renseignements : Grand Nord Grand Large. Tél 01 40 46 05 14 www.gngl.com.
La suite par ici : Partie 2…
- Test terrain Nikon D7000 au Spitzberg (part 2).
- Test terrain Nikon D7000 au Spitzberg (part 3).
- Test terrain Nikon D7000 au Spitzberg (part 4).
- Galerie de 180 images du Spitzberg avec le Nikon D7000.
superbes images ! Passionnant article comme souvent (il me passionne plus que le X100 ce D7000)
« …Aucun boîtier n’en offre autant pour ce prix-là et l’on serait tenté de parler de reflex semi professionnel. … »
Hello,
C’est embêtant de lire des trucs péremptoire de ce genre, ça sonne tout de suite comme un publi-reportage, et remet en cause toute la suite du reportage.
Donc, oui, des boitiers en offre autant, voire plus, comme le Pentax K-5.
7 img/sec, vraie protection waterproof, kit zoom weather resistant, meilleure montée en iso, en fait, meilleur en à peu près tout, sauf vitesse d’autofocus et un AF utilisable en vidéo. (enfin utilisable, il faut le dire vite)
Piqure de rappel :
http://www.dxomark.com/index.php/Cameras/Camera-Sensor-Ratings
http://www.dpreview.com/reviews/nikond7000/page22.asp
http://www.dpreview.com/reviews/pentaxk5/page21.asp
« Si l’on désire plus compact encore, on peut évidemment préférer des reflex de la classe inférieure : les D5100 et EOS 600D » :
J’ai pris le petit D5100 pour sa taille et l’écran orientable pour les voyages, mais c’est vrai qu’entre le D7000 et le D5100 il y a un gros trou… J’aurais aimé un boitier intermédiaire (type 600D), mais aussi solidement construit que le D7000, en plus compact et avec les mêmes réglages que sur son grand frère (notamment des réglages manuel en vidéo !).
Je pense qu’il reste un créneau du genre 60D à prendre chez Nikon…
Mon cher Arn : tu oublie la gamme optique… Et s’il n’y avait que ça ;-)
Comparer un Pentax à un Nikon ! Vraiment n’importe quoi…
C’est ton commentaire, qui est du genre péremptoire ! ! !
Je confirme, ce Nikon D7000 est juste une petite merveille. Et souvent je préfère l’emporter que mon D3X !
Merci pour cet article et tous les autres
Merci JF de mettre a dispo ton article : j’ai essaye de me le faire envoyer depuis la France, mais trop tard : le numero suivant etait deja sorti.
J’ai donc craque pour le D7000, et avant d’etre dithyrambique je vais attendre d’accumuler plus d’experience. Venant du D200 la batterie est effectivement une merveille qui change la vie, par contre la molette trop sensible est casse-pied… mais au moins encourage a etre vigilant et a ne pas shooter sans repenser a tous ses parametres.
Je suis intrigue par ton choix d’optiques : 2 boitiers (2x D7000 ?) et 14-24/2.8, 24-70/2.8, 70-200/2.8, 200-400/4. Tu as pris le top du top. Pourquoi ? Tu t’eloignes de ton motto « voyageons leger, la photo est affaire de compromis » ;-) Ton choix est resolument pro, mais effectivement je me demande si mes 10-24 et 17-55, bien que plus legers, sont encore au niveau. Le 70-200 est par contre visse 80% du temps sur le boitier, et malgre le poids l’ensemble reste bien equilibre.
Je suis impatient de lire la suite ;-)
Hello ! Non il y avait un D7000 et aussi un D700 dans l’aventure…
Dommage que je ne puisse montrer les images en même temps, car il y en a de belles aussi !
C’est embêtant….
En effet, c’est embêtant de lire des essais « de terrain » à qui l’on oppose des essais …de lecture des fiches, pseudo techniques,du service com/marketing de Pentax ou d’une quelconque autre marque commerciale.
Juste une petite remarque technique à JFV le D700 et le D 7000 ne jouent pas dans la même catégorie sur au moins des points essentiels:
-taille de capteur(APS c et FF)
-structure mécanique du boitier
– prix du boitier qui est le double (D700) de l’autre (D7000)
-cible clientèle visée
Une évaluation qualitative est possible et sans aucun doute intéressante pour évaluer la qualité des optiques.
A l’énoncé de la garde robe embarquée dans cette mission rédactionnelle ce sera éclairant d’avoir un avis pertinent pour déterminer les choix d’achats futurs (surtout si le vocabulaire utilisé pour commenter les essais est simple)
Oui, titi ! Rien ne vaut un bon essai terrain en effet ! Il m’est arrivé d’être déçu en pratique par des appareils qui alignaient toutes les qualités au niveau fiche technique. Mais c’est comme une équipe de foot, il faut que toutes les caractéristiques s’accordent bien ensemble !
Pour moi les D700 et D7000 font la paire ! Ils s’accordent très bien, et je recommande d’utiliser les deux en compléments…
Comme les EOS 5D Mk2 et l’EOS 60D (partagent les mêmes batteries).
Bonne lecture ! Demain la suite…
EXCELLENT !
Salut Jean-François,
Dans les menus très denses du D7000, il y a une option qui permet de choisir l’ISO à la volée par l’une des molettes (avant ou arrière, en fonction du réglage d’une autre option…)
En pratique, ça ressemble beaucoup à la priorité ISO des boîtiers Pentax et c’est vraiment pas mal, car à la différence de l’ISO Auto, on peut lire la sensibilité dans le viseur.
Une bonne solution pour gérer de façon ergonomique son choix de sensibilité.
Hasta la vista !
Em
« …Mon cher Arn : tu oublie la gamme optique… Et s’il n’y avait que ça ;-)
Comparer un Pentax à un Nikon ! Vraiment n’importe quoi…
… »
Ha, les imbéciles heureux qui sont nés quelque part..
bonjour,
j’ai actuellement un D7000 en test, et je dois avouer qu’il est plutôt bleuffant pour un boitier de cette gamme.
En revanche, j’ai quelques difficultés avec l’AF qui m’a fait manquer quelques images (en conditions difficiles: lumière ou mouvement aléatoire).
JF, as-tu rencontré des soucis avec l’AF lors de ton test terrain?
ps: merci pour ce retour très intéressant et beaucoup plus sympa que tous ces tests sur mire & cie
Merci pour ce magnifique article !
Que du bonheur depuis que je passé dessus en venant du D90
Il est vrai que pour certaines commandes il faut plutôt avoir la main plutôt jaune que rouge mais c’est une question d’habitude.
Les menus, c’est franchement le bronx et ça me prend du temps pour retrouver une fonction mais vu que l’on peut faire son menu perso et assigner ce menu à une touche, tout va bien.
L’auto iso pourrait être un peu plus fonctionnel
En fait, en lisant cet article, on pourrait cacher le nom du boitier, et le remplacer sans aucun souci par un K-5, le dernier né de Pentax, hormis la dimension du capteur (ah ben nan, même pas, c’est du DX tout les 2).
A vrai dire, j’ai pu en discuter avec un copain qui l’a acheté aussi récemment que moi mon K5, et on n’a pas trouvé bcp de différence entre les 2.
Donc oui, il est crédible de mettre les 2 sur un pied de comparaison.
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