Fin 2011, Déclic Photo publiait mon test terrain complet de l’Olympus XZ-1… (à ne pas louper également, les tests terrains des derniers reflex Nikon D7000, Canon EOS 550D, EOS 60D et EOS 7D et du Fuji X100). Pour les lecteurs les plus passionnés, voici la version longue en 3 épisodes :
- Test terrain : Un mois en Asie avec l’Olympus XZ-1 (part 2)
- Test terrain : Un mois en Asie avec l’Olympus XZ-1 (part 3)
- Test terrain : Un mois en Asie avec l’Olympus XZ-1 (part 4)
- Test terrain : 140 images prises avec l’Olympus XZ-1 à Bali.
… partie 1 sur 4 :
Voilà des années que je rêve, d’un compact équipé d’un bon zoom et d’un viseur capable de seconder mes reflex en voyage. Après le Canon G12, c’est au tour de l’Olympus XZ-1 de passer un test terrain longue durée… Ce petit nouveau saura-t-il séduire un utilisateur de reflex particulièrement intraitable ?
Sur le papier l’Olympus XZ-1 ne manque ni d’ambition, ni d’arguments pour séduire les photographes exigeants. On remarque d’abord cette bague de pilotage autour de l’objectif, spécialement taillée pour les experts travaillant en modes PASM (Programme, Ouverture Vitesse Manuel).
Ensuite un capteur 12 Mpix, dont la surface (1/1.63 pouce) est imperceptiblement plus large que la moyenne des compacts (1/1.7 pouces pour les Canon S95 et G12)… On découvre aussi un zoom (28-112 mm f/1.8-2.5), dont la grande ouverture sur toute la plage focale est inégalée, Olympus à d’ailleurs inscrit fièrement f1.8 sur l’avant du boîtier.
Ajoutez enfin, un viseur électronique optionnel (VF-2 de préférence au VF3 moins défini) et vous obtenez une combinaison unique sur le marché, pour un prix fort raisonnable de moins de 390 € (sept. 2011). Les plus convaincus dépenseront éventuellement 220 € de plus pour le viseur, ce qui reste excessif pour ce qu’on y voit…
C’est pourtant la possibilité de tester pour la toute première fois un compact « avec viseur », qui m’a convaincu d’acheter le XZ-1. Car un tel viseur manque à ses concurrents les plus sérieux, je pense aux Canon S95 et G12, le viseur optique de ce dernier étant trop petit, pour donner envie de s’en servir… Deux modèles de gabarits différents, devenus références que je serais souvent amené à comparer au XZ-1.
Le viseur externe VF2 est l’accessoire qui m’a convaincu d’embarquer le XZ-1 à Bali. Il n’est pas si encombrant qu’on pourrait le craindre. D’autant qu’on peut rapidement le ranger dans une poche…
La qualité d’affichage du viseur amovible VF-2 étant réputée « correcte», je me suis laissé tenter. En dépit d’une méfiance extrême à l’encontre de la visée électronique, systématiquement catastrophique jusqu’alors… Mais il faut se rendre à l’évidence. Si vous refusez de vous passer d’un zoom sur votre compact (pour d’évidentes raisons de polyvalence) et si détestez viser à l’écran… Alors il ne reste QUE le viseur électronique, un dispositif qui devrait se généraliser dans les années à venir, au fur et à mesure des progrès de l’électronique.
Il me semblait donc intéressant de vérifier si l’on peut s’habituer à cadrer avec un dispositif qui « s’interpose » entre vous et la réalité… Alors qu’habituellement, le viseur optique se comporte comme « une fenêtre ouverte », au travers de laquelle vous êtes « en contact » avec le monde. La différence n’est pas seulement philosophique, elle est aussi « sensuelle », de l’ordre du plaisir et du ressenti…
J’ai donc choisi un XZ-1 en noir (le blanc étant fort peu discret), accompagné d’un VF-2 noir (il existe en beige pour s’accorder aux Pen). Certes, d’autres APN proposent des viseurs électroniques optionnels (le Panasonic LX-5 par exemple), mais ceux-ci sont souvent moins précis…
Il faut aller jusqu’au Sony NEX-7 pour trouver une définition supérieure. Un hybride dont l’encombrement, le poids et le prix ne sont plus du tout comparables : 1200 € boîtier nu, auxquels il faut ajouter quelques bonnes optiques si l’on veut exploiter son capteur de 24 Mpix. Le Sony NEX-7 quitte donc la catégorie des compacts et se rapproche d’un petit reflex… A l’heure où je rédige ces lignes, le XZ-1 et son viseur VF-2, restent donc totalement uniques en leur genre.
Encombrement : le juste milieu
C’est sous le soleil impitoyable de Hong Kong en plein mois d’août, puis dans les îles enchanteresses d’Indonésie que l‘Olympus XZ-1 connait son baptême du feu. Sans son viseur, il s’agit d’un compact de taille moyenne (300 g.), plus léger et compacte qu’un Canon G12 (400 g.).
Mais plus lourd et large qu’un S95 (193 g.), il rentrera tout de même dans une poche de pantalon… Son gabarit est proche de celui d’un Panasonic LX5, qui reste l’un des rares compacts à proposer un grand-angle de 24 mm, avec le Samsung EX1.
Même pas peur face au soleil, avec l’objectif de l’Olympus XZ-1. Certes la dynamique d’un reflex serait meilleure, mais à contre jour le XZ-1 ne s’en sort pas si mal… Et quelques zones brulées, est-ce si grave que ça ? En regard du confort et du plaisir de se promener avec un minuscule appareil à l’épaule, disponible à tous moments… A noter que pour les cas extrêmes, le XZ-1 dispose d’un filtre ND intégré.
Priorité Ouverture – 1/800 sec – f/8 – 100 ISO – 28 mm.
Avec son viseur, le XZ-1 est légèrement plus volumineux, mais il reste tout de même très léger… Le VF-2 saura se faire oublier dans une poche de chemise ou de pantalon, abrité dans son étui velcro, c’est l’avantage d’un viseur amovible par rapport à un viseur intégré (on peut aussi espérer l’arrivée d’un VF-4, plus performant et plus compact).
Le XZ-1 plaira donc aux photographes qui n’apprécient pas forcément les compacts lilliputiens, qui se tenant par une courte dragonne, comme le S95… Il est équipé d’une courroie à deux points (comme le G12). On peut donc le porter à l’épaule, ou autour du cou à l’ancienne ! Il existe même une pochette de cuir avec rabat, dont la base se visse à l’écrou de pied. Un peu comme l’appareil de mon père dans les années 70… Délicieusement rétro, mais un peu encombrant.
Tenu à une main, le XZ-1 est un peu glissant car il manque un petit bossage qui éviterait aux doigts de glisser à sa surface, au revêtement discrètement satiné. D’ou l’éventuel intérêt de la pochette… Du coup, les doigts prennent appui sur la bague d’objectif dont la texture est légèrement agressive. Rien n’interdit de coller une pièce de caoutchouc à l’avant, même si ça n’est pas joli (je l’ai fait sur mon S90)… Sinon, vous trouverez sur un site américain (lensmateonline.com), un grip spécialement conçu pour lui, ainsi que pas mal d’accessoires.
Dans les petites rues de Hong Kong, j’ai déniché un pare-soleil en métal adapté au XZ-1, auquel il donne un look d’enfer. A noter qu’Olympus propose pour 49€ un adaptateur CLA-12 qui peut faire office de pare-soleil. Je vous recommande un tel accessoire pour protéger la lentille et améliorer la prise en main…
Heureusement les choses s’améliorent au dos, avec à une pièce antidérapante qui bloque le pouce et sécurise la prise en main. Mais, à l’usage on n’éprouvera jamais le sentiment de sécurité du Canon G12, sans que l’on profite de la compacité du S95 pour autant…
On est entre les deux, le XZ-1 se glisse moins facilement dans une poche de chemise que le S95, dont l’objectif est totalement rentrant (celui du G12 l’est aussi). Même éteint, l’embase d’objectif du XZ-1 dépasse d’environ deux centimètres… Mais c’est un mal pour un bien, car cet objectif lumineux (donc volumineux), est la « raison d’être » et le meilleur atout de ce compact.
Exposition et AF efficaces
Sans être un foudre de guerre, l’autofocus est assez efficace et il ne m’a jamais fait défaut… Il marche bien même dans le noir grâce à sa lampe d’assistance, qu’on ne peut désactiver. J’ai donc du passer en mise au point manuelle, pour rester discret alors que je photographiais des Balinais en prière (image ci-dessous)…
J’ai découvert en travaillant de nuit, que l’écran était incapable d’afficher de vrais noirs, générant un horrible bruit électronique dans les ombres, quelque soit la sensibilité. J’ai connu un moment de terreur, mais heureusement il ne s’agissait que d’une étonnante limitation de l’écran.
Il est rapide de sélectionner une zone AF du pouce. Voici d’ailleurs l’une des rares commandes directes, à notre disposition. Pas très utile sur un compact. Le Mode AF Action (appelé TR dans le Menu), suit assez bien le sujet en déplacement, après l’avoir verrouillé en pressant le déclencheur à mi course.
Mais il m’a semblé qu’il nuisait un peu à la réactivité générale, je lui ai donc préféré l’AF standard. On s’amusera éventuellement avec les Modes Macro et Super Macro (1 cm seulement), accessibles dans le même Menu que l’AF. Mais on oubliera la mise au point manuelle, tant son réglage est fastidieux…
L’exposition m’a paru fiable, à tel point que je ne m’en suis pas trop inquiété. Il n’existe pas de bouton de mémorisation d’expo, mais je n’en ai pas fait une maladie car je ne m’en sers pas sur les compacts… D’autant qu’avec un peu d’habitude, il est rapide d’appliquer du pouce, une correction manuelle qui s’avère nécessaire (même en RAW), face aux contre-jours violents.
Car la dynamique du capteur n’est pas exceptionnelle, comme sur tous les compacts. Bien dommage que la correction d’expo soit limitée à seulement plus ou moins deux diaph. Car cette limitation vous oblige à basculer plus souvent en Mode M (contre-jours par exemple).
Un petit flash surgit comme un diable lorsque l’on pousse un curseur. J’aimerais bien un dispositif aussi simple sur les G12 et S95… Mais étrangement il ne surgit pas tout seul en mode Auto, ce qui déstabilisera peut-être les débutants. Le comportement du flash m’a paru toutefois moins efficace, que ce que je connais sur les S90 et G12. D’autant qu’il manque un bouton de correction manuel de puissance (les options proposées ne me suffisent pas). Signalons la possibilité de contrôle sans fil des flash : totalement anecdotique sur un compact…
Objectif exceptionnel !
Je fus d’abord dubitatif en visualisant mes premières images, faute d’être habitué au viseur et à surtout cet écran, dont le rendu est différent du viseur et finalement trompeur (nous y reviendrons). Mais je fus rassuré, une fois les images affichées dans Lightroom, ou j’ai notamment pu apprécier leur piqué…
Un excellent piqué pour un compact, sur toute la largeur de l’image et quasiment dès la plus grande ouverture. C’est au grand angle, entre f/4 et f/5.6 que l’optique donne le meilleur d’elle-même… On peut obtenir d’ailleurs un piqué nettement fin et accentué en RAW dans Lightroom, que celui produit en JPEG par l’appareil. On doit cet excellent piqué à l’exceptionnel zoom 28-112 mm f/1.8-2.5 concocté par Olympus, qui par tradition maitrise mieux l’optique, que le traitement du signal…
On regrette évidement que ce zoom ne démarre pas à 24 mm, espoir déçu années après années. Sa longue focale est également un peu courte face à celle du Canon G12 (28-140 mm), mais on ne peut pas avoir « le beure et l’argent du beure » ! Ajoutez à cet excellent tableau un vignettage qui reste très modéré. La distorsion est assez visible au grand angle, mais elle se corrigera facilement en RAW dans Lightrooom. Correction « manuelle » au jugé, en attendant qu’un profil d’objectif soit proposé par Adobe, ou par un internaute motivé.
Mentionnons pour mémoire, l’existence d’un timide effet « bokeh » de faible profondeur de champs à « très » grande ouverture. Mais rien à voir avec un reflex ou un hybride à capteur APS-C, il ne faudrait pas choisir cet XZ-1 spécifiquement pour cette caractéristique. D’ailleurs il me semble que la promotion qu’en fait Olympus sur son site est largement excessive, la photo de démo ressemblant plutôt à une simulation « photoshopée ».
Lumineux à toutes les focales
Ne comptez donc pas trop sur « l’effet bokeh » ! Le réel intérêt de cette grande ouverture, est plutôt que dans de nombreuses situations, vous n’aurez pas besoin d’augmenter la sensibilité… Ce qui permettra de photographier au crépuscule pour des images toutes en nuances et suggestion, ou d’appliquer une accentuation plus vigoureuse sur les RAW, sans faire monter le bruit…
Rappelons que pour une luminosité donnée, une valeur d’ouverture gagnée permet diviser par deux la sensibilité. Ainsi, dans des conditions de lumière identiques (par exemple au crépuscule), le XZ-1 permettra de travailler à 100 ISO… Alors que d’autres compacts vous obligeront à monter à 400, ou à 800 ISO selon la focale.
Il est certes évident qu’au delà de 400 ISO, les compacts Canon prennent le dessus en terme de maitrise du bruit, grâce à des algorithmes de traitement plus avancés. Le XZ-1 a de gros progrès à faire en la matière, dix années d’évolution de la série G, ne se rattrapent pas en une génération ! Mais cela m’importe peu, car je réalise 95% de mes photos en dessous de 400 ISO !
Soulignons enfin une qualité rare de l’objectif du XZ-1 : il conserve une « très » grande ouverture, jusqu’à sa focale la plus longue (f/2.5 au 112 mm). Alors que souvent l’ouverture des objectifs diminue fortement avec la focale, tombant à f/4.9 au 105 mm pour le S95 par exemple.
Notons en aparté, que l’objectif 28-112 mm f/2.0-2.8 du Fuji X-10 est lui aussi remarquable. Son ouverture égale quasiment celle du XZ-1, au prix d’un encombrement supérieur… Mais le Fuji X-100 à l’avantage de posséder une bague de zoom manuelle (façon reflex), tellement plus pratique que le curseur imprécis et lent qui équipe tous les compacts. Son zoom motorisé est la seule critique que je fasse à l’objectif du XZ-1.
Qualité photo excellent en RAW
S’il est plutôt lent à démarrer et à s’éteindre à mon goût (plus de 3 sec), il faut reconnaître à l’Olympus XZ-1 une bonne réactivité en rafale. On monte à 7 im/sec en JPEG et 2 im/sec en RAW, ce qui permet de travailler confortablement pour un compact. Ce n’est pas si mal avec 10 Mpix, on a vu Nikon s’y casser les dents, avec un P7000 inutilisable qui se bloquait, 5 à 6 seconde après chaque image RAW.
Je ne suis pas fan de la colorimétrie des JPEG en Mode Natural, avec des cyans un peu trop soutenus… C’est plus flashy que chez Canon ou Nikon, mais peut-être est-ce une affaire de goût puisqu’il semble que pas mal de testeurs apprécient ce rendu légèrement « Technicolor ». Les options de « style d’image » Olympus m’ont semblées un peu courtes et fort peu différentes les unes des autres.
En extérieur, je vous conseille d’ailleurs d’éviter la balance des blancs Auto et de rester en permanence en Lumière du Jour, c’est plus sûr d’un point de vue colorimétrique… Réglage de balance des blanc, qui n’est accessible que par un détour dans les menus, une absence de commande directe plutôt inacceptable !
Mesurant 1/1.63 pouce (7.89 x 5.81 mm), le capteur du XZ-1 est à peine plus large que celui de nombreux compacts (dont les S95 et G12 de 1/1.7 pouces). Il propose 10 Mpix (3648 x 2432), ce qui n’est peut-être pas suffisants pour exploiter le potentiel de l’objectif. Je fais le pari que ses successeurs accueilleront des capteurs plus définis. Etrangement le XZ-1 ne propose pas d’options de réglage de réduction du bruit en JPEG…
Les images sont bonnes jusqu’à 640 ISO, mais le bruit devient trop présent à partir de 800 ISO. Il est donc ridicule d’oser proposer 6400 ISO dans ces conditions. Rappelez-vous toutefois qu’avec une aussi grande ouverture (f/1.8-2.5), vous n’irez pas très souvent au delà de 400 ou 800 ISO. Une raison de plus d’éviter le JPEG, si vous le pouvez, car en RAW vous tirerez le meilleur du XZ-1 en terme de colorimétrie, de piqué et de correction du bruit, jusqu’à 1000 ISO environ.
Panoramique et vidéo bof…
Je n’ai guère prêté attention au Mode iAuto, sensé être suffisamment intelligent pour choisir tout seul un Mode Scène, ni aux filtres Artistiques… Gadgets qui intéresseront éventuellement les débutants et ceux qui ne sont pas très à l’aise avec leurs logiciels de post traitement… Tel n’est pas le propos d’un tel compact je crois. Et j’ai préféré le tester du point de vue d’un photographe confirmé, à savoir l’utilisation des Modes P, S, A et M.
Ne pas trop compter trop sur le Mode Panoramique du XZ-1… Car il ne s’en sort pas souvent aussi bien qu’ici ! Autre petit regret, l’objectif n’est pas rentrant. Un pare-soleil de 4 cm permettra de régler ce problème : votre objectif ne frottera plus contre votre bras lorsque vous portez l’appareil à l’épaule et vous serez plus réactif sans ce satané bouchon d’objectif… Télécharger le fichier ici.
Priorité Ouverture – 1/1000 sec – f/4 – 100 ISO – 28 mm.
J’ai essayé le mode Panoramique qui marche bien sur certains sujets, mais pas du tout sur d’autres… Etrangement, les paysages marins ne lui réussissent pas du tout ! Faute d’être familier ce genre de gadgets, je ne sais si c’est courant, mais c’est décevant, pour un compact qui se veut facile à vivre… De toutes façons, la netteté des JPEG n’est pas assez fine, ni renforcée à mon gout.
Et les fichiers RAW servant à la construction du panoramique ne sont pas enregistrés sur la carte. Aussi, je recommanderais aux experts de continuer à réaliser leurs panoramiques « à l’ancienne », à partir des fichiers RAW avec leurs outils habituels.
D’autant que le calcul du panoramique m’a semblé horriblement lent et immobilise l’appareil. Il ne faut donc pas oublier de revenir dans un Mode habituel, sinon vous risquez d’être bloqués lorsqu’une photo se présente à l’improviste. Ce qui m’est évidemment arrivé, c’est énervant… La lecture du mode d’emploi (que j’ai sauté pour des raisons que vous apprendrez bientôt), vous apprendra que l’appareil déclenche lui-même lorsque vous alignez les cibles. Ne vous énervez pas, à essayer de déclencher vous-même au bon moment.
Un mot rapide sur la vidéo, que je n’ai pas testé trop en détail (vous pourrez visualiser quelques séquences sur vimeo.com/vibert). Pas de Full HD, seulement du HD 720p en Mjpeg, CODEC vieillot et peu performant. Le micro est mono, mais on pourra brancher un micro stéréo à l’emplacement du viseur… J’ai apprécié le bouton rouge qui tombe sous le pouce et qui déclenche le tournage, à tout moment quelque soit le mode sélectionné.
C’est tout bête, mais cela donne envie de faire des séquences. C’est donc bien mieux qu’un mode vidéo à sélectionner par la molette des modes. On peut zoomer pendant les séquences (ce qui n’est pas recommandé en principe) et l’AF suit automatiquement, mais plutôt lentement et avec hésitations…
… à suivre ici !
- Test terrain : Un mois en Asie avec l’Olympus XZ-1 (part 2)
- Test terrain : Un mois en Asie avec l’Olympus XZ-1 (part 3)
- Test terrain : Un mois en Asie avec l’Olympus XZ-1 (part 4)
- Test terrain : 140 images prises avec l’Olympus XZ-1 à Bali.
Il est vrai que depuis la présentation des Fuji X10, Canon S100 et surtout Canon G1x, ce petit Olumpus XZ-1 a pris un coup dans l’aile…
Reste qu’il est le moins cher de tous.
Superbes images bravo ! Comme quoi, c’est pas l’appareil qui fait les belles photos… Mais bien le photographe
oui, passionnant test… on attend la suite !
Il me tente bien ce XZ-1… D’autant qu’il est passé à 300 €
Moitié moins cher que le Fuji X10 !