Voilà enfin en ligne, mes images du Pérou ! Ce reportage a été long à trier car j’ai quand même shooté dans les 11.000 images pendant ce voyage du mois d’août… Aller à : partie 2 – partie 3…
Pour cela mes deux Canons EOS 10-D ne s’en sont pas trop mal sortis, et mon petit PWB 12 pouce aussi (quoi qu’un peu lent avec son disque à 5400 t/m, faudrait que je le change un de ces jours). Quant à Iview Media Pro 2.6, c’est vraiment à lui que je dois de m’être sorti de cette masse énorme de pixels (pas loin de 30 Go)…
Iview Media Pro est LE logiciel le plus indispensable sur le disque dur d’un photographe (qui doit absolument le maîtriser, bien avant Photoshop)… Je profite de l’occasion pour préciser que les pages présentant mes images ont également étés réalisé intégralement via l’export html personnalisé de Iview. Pour accéder aux images, passer par ma homepage, ou plus directement, aller à cette adresse : www.vibertphoto.com
Voici, en passant, quelques réflexions qui me sont venues pendant la réalisation de mon reportage. Pour effectuer un choix quand tu shoot entre 1 à 3 Go d’images par jour, il faut un peu de méthode et surtout décharger quotidiennement tes cartes dans des sous-dossiers et faire si possible une pré-sélection au quotidien (en tout cas, ne jamais laisser s’accumuler plus de 3 ou 4 jours d’images sans faire le ménage).
Je pratique la politique du « un dossier par jour » (ou par thème de prise de vue, si ce thème n’excède pas 3 jours) et « un catalogue Iview par dossier »… De retour à Paris je regroupe certains dossiers… mais pas forcément. Il n’y a pas de règle, le tout est de rester vraiment très méthodique.
Quand tu voyages du Nord au Sud du Pérou pendant un mois entier, il ne faut donc jamais rater une occasion de trier tes images en route. Car de retour à Paris, entre le jet-lag et la somme de travail qui s’est accumulé pendant la durée du voyage, et bien… l’éditing (le classement en dialecte photographique) peut vite tourner à la corvée ! C’était vrai en argentique, c’est encore pire en numérique, car l’on shoot en numérique 2 à 3 fois plus qu’avant !
Donc, la nuit, au lieu de se reposer ; en train ; en bateau et même en bus : le reporter numérique classe fiévreusement ses images ! Par exemple entre la « Cordillera Blanca » et Arequipa, j’ai dû faire au bas mot dans les 40 heures de bus en 5 jours (et 4 nuits)… J’ai donc bossé sur la route avec mon Powerbook sur les genoux.
Il convient d’emporter 2 batteries bien chargées et de tirer un peu le rideau pour rendre l’écran plus lisible (en laissant une petite fente pour surveiller le magnifique paysage qui défile). La nuit, on peut baisser un peu la luminosité de l’écran (j’ai pensé dans ces moments-là, que les touches lumineuses du PWB 15 pouces seraient les bienvenues). Il faut aussi faire gaffe à ses affaires (les garder entre les pieds) et rester un peu discret, car les vols dans les bus et les trains sont un grand classique en Amérique du Sud. Lire la suite…
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