Les meetings aériens qui se déroulent partout en Europe durant l’été sont l’occasion de réaliser des images rares… Le ronflement des moteurs, les prouesses des pilotes et les hurlements des jets participent d’une atmosphère électrisante qu’il est passionnant de photographier… À vos longues focales !
La principale difficulté pour bien photographier les meetings aériens est liée aux distances de sécurité imposées entre les avions et le public. Il n’y a guère que dans l’axe de la piste d’atterrissage que les avions passent à faible distance.
Sauf à être accrédité officiellement, il y a peu de chance que vous soyez admis à sortir des zones accessibles au public, l’utilisation d’une longue focale d’au moins 200 mm est donc la seule façon de régler le problème, nous allons détailler longuement cette question.
Pour autant, une longue focale ne fait pas tout… Pris dans l’action, peu de photographes sont conscients que tout le monde n’est pas fan d’aviation. Et qu’il n’est pas évident de différencier un P51 Mustang d’un Messerschmitt BF 109, lorsqu’ils sont photographiés à 200 mètres de distance sur fond de ciel bleu.
Au-delà de la simple réussite technique, le premier souci du photographe doit être de varier autant que possible les points de vue et d’éviter de réaliser des centaines d’images identiques sur fond bleu ! Les nuages sont une chance de briser la monotonie, déplacez-vous autant que possible pour les intégrer à votre composition.
Au-delà des avions en plein vol, traquez systématiquement les « à côtés »… Montrez ce que personne ne pense à regarder. Ne négligez pas la foule, les images d’ambiance, les portraits des pilotes, les mille détails intéressants des avions exposés au sol… Considérez que les évolutions aériennes ne représentent qu’une partie du sujet, surtout quand le temps est gris !
Les zoom télé 70-200 mm à 100-400 mm. Les zooms 70-200 mm, ou 100-300 mm deviennent un équipement presque courrant pour les possesseurs de reflex. Ils constituent d’ailleurs souvent un premier investissement, après l’achat d’un kit de base. Certains reflex sont d’ailleurs disponibles en double kit à des prix très intéressants.
Dans le cas de figure qui nous intéresse, l’ouverture minimale de votre zoom ( qui peut aller de f/2.8 à f/5.6) est beaucoup moins déterminante qu’elle ne peut l’être pour d’autres types de prise de vue. Une ouverture de f/4 sera par exemple tout à fait suffisante dans la plupart des cas, puisque vous visez souvent le ciel qui est très lumineux.
Les coûteux télé zooms pros ouvrant à f/2.8 ne sont donc pas absolument incontournables, même s’ils gardent une grosse longueur d’avance question qualité optique. Pour des raisons évidentes, la stabilisation (mode anti-vibration) est par contre vraiment très utile pour travailler en toute sécurité à main levée. Sans pied, ni monopode…
Elle permet d’échapper à la dictature du « 1 sur le focale », règle empirique qui conseil d’utiliser une vitesse de 1/200èm au minimum, pour une focale de 200mm. Une optique stabilisée permet donc d’utiliser un 200 mm à des vitesses très basses, en dessous du 100ème de sec par exemple. A chacun de déterminer sa vitesse minimale en fonction de son matériel et de ses aptitudes à ne pas trembler ( ! )…
Si vous utilisez beaucoup la stabilisation, prévoyez éventuellement des batteries de rechange ou l’utilisation d’un grip (poignée d’alimentation) embarquant deux batteries, car avec certaines optiques la stabilisation consomme pas mal d’énergie. J’ai remarqué que mon Canon 70-200 mm f/2.8 stabilisé générait parfois des erreurs du boîtier lorsque je l’utilisais sans le grip, (erreurs que je mets sur le compte d’une alimentation insuffisante).
- Avantages du zoom : Vous gardez la possibilité de faire évoluer le cadrage si l’avion vient dans votre direction.
- Inconvénients du zoom : De moindres performances optiques que les optiques fixes équivalentes.
Les multiplicateurs de focale x1.5 ou x2 sur les 70-200 mm. Avec un multiplicateur de focal x1.4, votre zoom 70-200 f/2.8 mm devient donc un 98-280 mm f/4. Ajoutez le taux de conversion (x1.5) d’un boîtier à petit capteur (par exemple Nikon D200, D80, D40, Pentax K10D, Sony Alpha) et vous voilà en possession d’un 147-420 mm f/4.
Avec les boîtiers Canon à petits capteurs (EOS 20D, 30D, 400D, 350D, ect…), le coefficient de conversion est même de x1.6 ce qui donne un 156-448 mm f/4. Sur les reflex 4/3 Olympus, Panasonic (Lumix L1) ou Leica (Digilux 3), il monte à x2.
Au meeting de la Ferté Alais, j’ai souvent remarqué qu’en utilisant un multiplicateur x1.4 sur mon 70-200 mm, j’étais même un peu trop près des avions lorsque ceux-ci survolaient le terrain, l’endroit pourtant le plus propice aux images, car à courte distance le voile atmosphérique est moins gênant… J’ai donc préféré m’en passer, quant au doubleur (multiplicateur x2) je ne l’ai jamais sorti.
S’il sont extrêmement pratiques, il faut rester conscient les multiplicateurs de focales posent certains problèmes. Le premier est que les performances optiques baissent d’un cran, c’est normal puisque vous ajoutez des couches de verre qui ne sont jamais parfaites.
La perte reste toutefois acceptable en utilisant un multiplicateur x1.4 sur une excellente optique de base (70-200 mm professionnel)… Mais la dégradation optique devient plus gênante avec le doubleur. Évidemment cela dépend un peu de votre niveau d’exigence… À ce propos, pour évaluer le « piqué » de vos images à l’écran, affichez-les à une taille de 50% c’est amplement suffisant. Allez jusqu’à 100% si vous avez des prétentions professionnelles, mais pas au-delà, ça ne sert à rien.
Le second problème lié aux multiplicateurs de focale est que vous perdez en ouverture. Celle de votre 70-200 f/2.8, tombe à f/4 avec le multiplicateur x1.4… Et à f/5.6 avec le multiplicateur x2. Si un diaphragme plus fermé n’est pas extrêmement gênant pour photographier des avions par grande luminosité (on peut toujours monter la sensibilité d’un cran) un autre effet secondaire s’avère beaucoup plus embêtant : moins il y a de lumière, moins votre autofocus « accroche » facilement sa cible !
- Avantages des multiplicateurs : votre zoom devient encore plus polyvalent.
- Les inconvénients : vous perdez en ouverture, en qualité optique et en performances autofocus.
Remarque à propos des multiplicateurs de focal Canon : Depuis sa disponibilité, j’ai souvent utilisé le multiplicateur Canon x1.4 seconde édition avec mon 70-200 f/2.8 L et j’ai pu noter que les progrès ont été notables par rapport à sa première édition, notamment en termes de vignettage. Rappelez-vous de cela, si vous recherchez cet accessoire d’occasion.
Concernant le multiplicateur x2, il a lui aussi réalisé d’importants progrès par rapport à sa première édition. Au point que son utilisation devient presque envisageable courrament, même si les images « souffrent » de défauts très visibles notamment sur fond de ciel bleu. Défauts qu’il est possible aujourd’hui de corriger bien plus facilement que du temps de l’image argentique, grâce aux logiciel de post production. Toutefois son utilisation doit rester très exceptionnelle.
Dernière chose, il est possible d’emboîter ces deux multiplicateur l’un derrière l’autre ! Un 200 m f/2.8 devient donc un 560 mm f/5.6…Ajoutez le taux de conversion (x1.6) d’un EOS à petit capteur (EOS 20D, 30D, 400D) et vous voilà en possession de l’équivalent d’un 896 mm f/5.6 full frame. Utile aux paparazzi uniquement !
Les téléobjectifs à focales fixes : 300 mm et plus – Souvent utilisées par les pros sur le bord des terrains, ces longues focales sont la promesse d’une qualité d’image superlative, mais restent malheureusement hors de budgets pour la plupart d’entre nous…
Ce n’est pas trop grave. Consolez-vous en vous disant qu’elles ne sont pas toujours les plus pratiques pour la photo de bolides lancés en pleine vitesse. L’aviez-vous remarqué ? En plus de leur énorme télé fixé sur pied, la plupart des pros gardent systématiquement un télé zoom suspendu à l’épaule…
S’il est possible aux photographes les plus costauds d’utiliser ponctuellement un 300 mm stabilisé à main levée, le monopode ou le pied sont absolument indispensables au commun des mortels. Même un simple 70-200 est capable de vous filer de sérieuses courbatures le lendemain d’une journée intense de prise de vue.
Je ne suis personnellement pas fan du pied (j’en ai pourtant un en carbone, qui me sert souvent à suspendre mon sac photo au-dessus du sable lorsque je fais des photos de surf). Et je ne m’encombre que rarement d’un monopode, car je préfère utiliser des optiques stabilisées.
Le secret pour bien tirer partie d’un pied ou d’un monopode avec un sujet rapide, réside dans une rotule mobile sophistiquée. Pour mieux suivre les avions, les pros de la photo aérienne utilisent de longues poignées fixées à la rotule (un peu comme les caméramans), sur l’une d’elles est fixé un déclencheur déporté.
- Avantages : Une qualité optique superlative, à laquelle on ne peut renoncer après y avoir goûté.
- Les inconvénients : poids, encombrement et investissement très importants.
Quelles vitesses et ouvertures préférer ? Nous avons vu que l’ouverture n’est pas d’une importance déterminante pour photographier les avions (elle doit rester toutefois dans des limites raisonnables). Un diaph quelque peu fermé aura l’avantage d’offrir une plus grande profondeur de champs et de compenser une mise au point approximative de l’autofocus.
C’est par ailleurs souvent entre f5.6 et f/8 que les optiques offrent le meilleur d’elles-mêmes. D’une façon générale, je préfère utiliser la priorité vitesse ou la priorité ouverture pour les images « qui bougent » et comme vous l’imaginez bien, je n’utilise jamais les programmes résultats (sport, paysage, ect…).
L’erreur classique du débutant qui les utilise n’importe sans réfléchir, est de ne pas contrôler la sensibilité choisie par l’appareil, ni l’ouverture… Et de se retrouver (dans le cas de la photo aérienne) avec un diaph exagérément fermé (f/18 ou plus) à cause de la forte luminosité du ciel. Ce qui engendre vignetage, diffraction, aberrations chromatiques…
Par ailleurs un diaph exagérément fermé (sacrilège) est en quelque sorte un « gaspillage » de ressources photographiques ! Mieux vaut utiliser une ouverture moyenne (de f/4 à f/16), de façon à choisir la plus basse sensibilité possible (100 ISO est l’idéal), gage d’une absence de « bruit numérique ».
En optant pour des vitesses peu élevées, vous éviterez de figer l’hélice des « coucous » qui ne tourne pas forcément très vite (encore un autre avantage déterminant des optiques stabilisées).
Une hélice figée et nette, ôte toute sensation de vitesse à l’avion. Mieux vaut donc ne pas monter au-delà du 1/250em de seconde. Plus l’avion est ancien, plus il faudra abaisser cette vitesse (1/150em de sec pour les vieux biplans).
Une parenthèse à ce propos, j’ai lu récemment dans la presse quelques explications à propos de la réalisation des photos du TGV durant son dernier record de vitesse. En choisissant une vitesse de 1/4000 em de seconde leurs auteurs ont réussi à parfaitement figer la rame… Tellement bien, que le TGV semblait complètement à l’arrêt, dommage non ?
- Avantages : une vitesse basse (1/200ème) préserve le flou des hélices et assure plus de profondeur de champs.
- Inconvénients : risque de bouger du photographe s’il n’est pas équipé d’une optique stabilisée.
Autofocus, cadence, mesure de lumière, balance des blancs ? Si certains professionnels apprécient d’effectuer une mesure de lumière manuelle pour certain sujets (qui garanti la même exposition sur une série d’images), j’ai personnellement une grande confiance dans l’appareil…
Et je ne sors quasiment jamais de la mesure multizone standard (quitte à ajuster un peu mes images en post traitement). Certes, on peut se « prendre la tête » un peu plus que ça, mais je n’en vois pas bien l’intérêt.
En ce qui concerne la balance des blancs, le meeting aérien est l’occasion ou jamais de choisir un réglage « lumière du jour » qui garantit une parfaite continuité des images entre elles quelque soit le cadrage. Alors qu’en balance des blancs automatique, parfois l’appareil peut se faire pièger…
Pensez à vérifier dans quel mode vous êtes resté, avant de visiter l’intérieur des hangars ! Mais encore une fois, si vous shootez en RAW, les erreurs de balance des blans sont sans conséquences, puisqu’elle peuvent être ajustées sans problèmes par la suite.
Pour le réglage de la cadence moteur, c’est évidemment la cadence maxi qui s’impose (5 images / secondes est pas mal). Je déclenche par courtes rafales de 3 à 6 images (rarement plus), il n’est pas rare que sur une rafale, certaines images soient plus nettes que d’autres.
Le mode autofocus conseillé pour suivre des avions en plein ciel est plutôt le mode suivi (appelé Servo chez Canon, Continue chez Nikon), puisque que la distance au sujet a beaucoup de chance d’être variable. Mieux vaut également laisser tous les collimateurs activés pour une meilleure détectivité. Sauf si vous désirez composer votre image avec une zone d’espace vide « en avant » de l’avion (ce qui est plus joli), dans ce cas utilisez les capteurs décentrés.
Signalons à ce propos que la capacité de « grouper » les collimateurs par quatre avec certains boîtiers Nikon (D80 et D200 notamment), qui est extrêmement avantageuse lorsqu’il s’agira de les piloter rapidement avec le Joypad situé à l’arrière du boîtier. Quand au récent EOS 1D mark 3 professionnel, il dispose de collimateurs invisibles entre les capteurs, ce qui revient un peu au même.
J’ai suivi le meeting de la Ferté, équipé des 70-200 mm f/2.8 stabilisés Canon et Nikon, montés respectivement sur des Canon EOS 20D, EOS 5D et Nikon D200.
Ce dernier s’en est le mieux sorti du point de vue de l’autofocus, ce qui est normal vu son positionnement. Les collimateurs de l’EOS 5D sont trop regroupés au centre pour ce genre d’exercice (ils n’ont pas évolué par rapport au 20D, alors que la surface sensible s’est agrandie). Cet boîtier conçu plutôt pour le portrait, le paysage, le studio est donc moyennement adapté à ce genre d’images, sa cadence est de plus limitée à 3 im/sec.
Quand à l’EOS 20D il accuse déjà son âge (sorti en août 2004). S’il partage avec le D200 (sorti en novembre 05) une cadence de 5 im/sec, son autofocus est moins performant. Un EOS 30D (sorti en février 2006) s’en serait mieux sorti je suppose.
Quelles modes format d’image préfèrer RAW ou JPEG ? Pour toutes les images un peu difficiles à réaliser techniquement (sport, lumières difficiles, images nécessitant des améliorations, ect…), le format RAW est évidemment à privilégier.
L’argument selon lequel le workflow en RAW est plus long et compliqué qu’en JPEG à vécu… A condition du moins, d’être équipé d’un ordinateur récent tournant à plus de 2ghz et équipé d’au moins 2 Go de RAM.
Grâce à des logiciels « tout en un » comme Lightroom ou Aperture la gestion de milliers d’images dans ce formats devient plus facile même qu’en JPEG (lire notre article comparant ces deux logiciels). Oubliés les problèmes d’exposition, finis les soucis de balance des blancs, tout cela peut s’ajuster en lot au moment de la post production. Même les poussières sur le capteur (bien visibles sur fond de ciel bleu avec un diaph fermé), ne sont plus qu’un mauvais souvenir.
Quand aux utilisateurs d’Adobe Bridge CS3 et Adobe Camera Raw, ils pourront même ajuster très finement la netteté de leurs images avec un nouvel outil netteté tout à fait exceptionnel (qui arrivera dans Lightroom à l’occasion de sa prochaine mise à jour).
- Avantages du RAW : Possibilités d’ajustement exceptionnelles au moment du post traitement.
- Inconvénients du RAW : Nécessite des capacités de stockage supérieures. Nécessité d’un post traitement.
Les dates des meetings… Voici quelques rendez-vous incontournables. Une liste complète est accessible sur ce site (qui comprend aussi de petits meeting régionaux) : Passionaviation.skynetblogs.be, ou sur celui-ci : Airpixel.com. Si c’est la patrouille de France qui vous intéresse, son programme détaillé est accessible sur leur site : Patrouilledefrance.com.
- La Ferté Alais : Un des plus intéressant meeting d’Europe à 50 minutes de Paris, avec ses coucous de collection et la visite de la Patrouille de France. Les 26 et 27 mai 2007. Meetingferte.com
- Salon du Bourget : Ouvert le week-end au grand public tout près de Paris. Un des plus important Salon aéronautique au Monde. Les 22, 23 et 24 juin 2007. Salon-du-bourget.fr
- Lens-Bénifontaine : En région Nord Pas de Calais, un des dernier meeting de l’été. Le 2 septembre 2007. Meeting-air-lens.com
- Meeting aérien de l’EA-ALAT et de l’EFA : Pour célébrer le 100em anniversaire de l’hélicoptère et 50em anniversaire de l’EA-ALAT près de St Tropez. Les 23 et 24 juin 2007. Meeting-leluc.fr
- Meeting aérien d’Evreux Base aérienne 105 : Avec la patrouille de France et le Rafale. Le 3 juin 2007. Air-meeting-evreux-2007.com
- Meeting de l’air Mont de Marsan Base aérienne 118 : Avec la patrouille de France. Le 8 juillet 2007. Meeting2007-marsan.fr
- Meeting aérien de International de Bex : Chez nos amis Suisses. Les 1er et 2 septembre 2007. Membres.lycos.fr/gvmcbex et Bex07.ch
Merci beaucoup pour toutes ces informations. Je me réjouis d’appliquer ces notions ce week-end à Bex. La photo du Skyraider est grandiose.
c’est pas une rediffusion d’un article?
Merci pour ce petit cours !
Il me serra sûrement très utile ce wek-end à Bex.
Je vois que je ne suis pas le seul :)
J’ai déjà vu cet article sur le monde de la photo, me trompe-je?
Très bon article au passage!
Merci pour cet article fort intéressant (une impression de déjà vu !).
Je me permets de rajouter une date qui est celle du 9 septembre prochain où il y aura un meeting aérien (Sky Show) sur l’aérodrome de Pontoise-Cormeilles.
http://www.skyshow.fr/
Et un petit meeting (avec Mirage 2000 et PAF quand même…) dans le 65
C’est ici :
http://www.aero65.fr/meeting_aerodrome_tarbes_laloubere_16_septembre_2007.html
Je confirme qu’un 200/400 nécessite un entraînement physique avant de faire un meeting complet… ou une journée de courses sur circuit :)
Bel article et de bien belles photos, classe !!!
Vous avez vu ça
http://world.casio.com/ngdc/fr/features1.html
60 fps !!! si si !!!
Pas mal en effet !
J’imagine la même technologie dans un 300D…
Merci beaucoup pour tous ces conseils.
Très très sympa de voir ce sujet traité de la sorte! Merci!
Pour ma part, lorsqu’il s’agit du choix des vitesses, j’essaye de ne pas dépasser 1/125 pour les hélices (1/80 pour les hélicos)
Il y a du déchet mais quand ça marche, c’est sympa!
http://myskitch.com/tayssett/lightroom_catalog.lrcat_-_adobe_photoshop_lightroom_-_developpement-20070906-172204.jpg
A bientôt sur un meeting!
Lisa Tayssett
Dommage les fautes…