Deux nouveaux compacts experts viennent d’être annoncés chez Nikon : le Coolpix A (relativement innovant et le Coolpix 330 (plus polyvalent mais plus classique). L’occasion de revenir sur le Nikon P7700, qui va cohabiter dans la gamme avec les nouveaux venus. Que vaut-il, face au Sony RX100 (testé ici), au Canon S100 (testé ici), au Fuji X10 (test ici), au Fuji X100 (testé ici), à l’Olympus RX-1 (test ici), au Canon G12 (testé ici)… Je rappel que vous pouvez accéder à la catégorie compacts experts ici.
Nikon a longtemps fait figure d’outsider sur le secteur des compacts experts, depuis 2010 deux modèles en demie teinte (les P7000 et P7100) se sont succédés sans convaincre… Mais cette fois, le P7700 semble mieux armé, grâce à un design modernisé, un très lumineux 28-200 mm f/2,0-4,0, un bel écran orientable et un capteur 12 Mpix désormais en CMOS… Ce P7700 pourrait-il bousculer la hiérarchie en place et rivaliser avec le Canon G15 ? Ou même, avec l’éblouissant (mais coûteux) Sony RX100 ? C’est ce que nous voulions vérifier, en nous promenant dans les rues de Paris.
Disposant de nombreuses commandes directes, le Nikon P7000 est un beau compact expert, dont le point fort est un zoom 28-200 mm f/2.0-4.0, très lumineux et toujours sans rival sur le marché des compacts experts. J’ai d’ailleurs immédiatement remarqué en me baladant à Montmartre, que ce 200 mm « fait la différence » d’un point de vue créatif…
Le point fort du Nikon P770 est bien entendu son range focal inédit, qui sera très apprécié des portraitistes, des photographes urbains et paysagistes (je crois dans ces trois cas, qu’il est plus important de disposer d’un 200 mm, que d’un 24 mm). Et l’on dispose du classique filtre neutre (ND) logiciel, qui permet de jouer avec la profondeur de champs par forte luminosité.
Proposé à moins de 450 €, le P7700 est superbement construit, bien fini, bien équilibré, vraiment très séduisant au premier regard. Un bouton (physique) libère un minuscule flash qui surgit comme un diable de sa boîte… Peut-être pas assez haut, il saura tout de même piloter des flashs Nikon à distance (un peu anecdotique sur un compact). J’ai été agréablement surpris par l’excellente autonomie, il a tenu toute une journée me permettant de réaliser 620 images RAW, sans vider totalement la batterie EN-EL14 (donnée pour 330 vues).
Prise en main et écran orientable – La prise en main s’est révélée parfaite en pratique, grâce à une large poignée en caoutchouc sur l’avant et une pièce antidérapante, idéalement placée pour le pouce. Le nouvel écran orientable, se déploie sur le côté gauche comme sur les Canon, mais il est plus fin et moins encombrant que celui d’un G12.
Libre : L’écran LCD 3 pouces de 921.000 points a le bon goût d’être orientable ! Ce qui permet des compositions audacieuses… L’essayer c’est l’adopter. C’est lorsqu’on en est soudain privé (Canon G15), qu’on se rend compte à quel point on l’appréciait !
Appareil callé en appui sur la courroie passée autour du cou, j’ai pu constater que l’écran participait à la bonne prise en main… J’ai aussi apprécié la discrétion qu’il permet en photo urbaine. Il m’est souvent arrivé de tenir l’appareil à hauteur du nombril, écran orienté vers le haut, pouce droit sur le déclencheur. Avec ce nouvel écran, on serait tenté de prendre ce P7700 pour le véritable successeur du… Canon G12 !
Le Nikon P7700, c’est la promesse d’un 70-200 mm f/4 qui tient dans une poche, une focale idéale pour les portraits. Malheureusement sa faible réactivité en RAW est terriblement frustrante. Solution, utiliser le JPEG. Car mieux vaut un JPEG pris au bon moment, qu’un RAW déclenché trop tard. Priorité vitesse – 1/60 sec – f/4 – 100 ISO – 200 mm.
Mais étrangement, c’est au moment où Nikon adopte l’écran orientable que le G15 l’abandonne ! Au désespoir des fans de la série G… Allez comprendre, Canon a-t-il souhaité réduire l’encombrement du G15 pour bien marquer la différence avec le G1X, pensé comme un « gros G12 » à capteur géant ? Ou simplement réduire les coûts industriels en période de contraction du marché photo ? Cet écran orientable, me semblait pourtant être un des atouts maîtres des G11 et G12. Une chance à saisir pour le Nikon P7700 ?
En poursuivant le même but (recherche de compacité à tous prix), Nikon à probablement été mieux inspiré en supprimant le minuscule viseur optique qui équipait ce type de compact, ce que Canon n’a pas osé sur le nouveau G15. Grâce aux progrès réalisés sur les écrans (orientables justement), plus personne n’utilise en effet ces viseurs préhistoriques… Ils se justifiaient sans doutes à l’époque du G9 dont l’écran était illisible en plein soleil (je l’ai expérimenté 3 semaines Costa Rica). Mais ce n’est plus le cas en 2013.
Ainsi, débarrassé de cet appendice finalement encombrant, le look du P7700 s’en trouve radicalement amélioré. Oublié l’aspect dissymétrique et disgracieux de ses prédécesseurs. Il ressemble désormais à un bel appareil photo au look professionnel, sans céder à la mode un peu exaspérante du rétro design à toutes les sauces…
Un compact, pas si compact – Par contre la chose qui m’a frappé en le glissant dans le petit sac à dos que j’emporte en vélo : c’est qu’avec 392 g. (carte et batterie compris), le P7700 plus lourd et encombrant que la plupart des compacts experts de la génération 2012-2013. Une stabilité et une prise en main solide, susceptibles de rassurer certains utilisateurs de reflex désirant un compact complémentaire. Mais qui rebutera, ceux qui recherchent juste un petit bloc-notes à glisser dans une poche de veste, comme ils y glissent un téléphone.
C’est toujours le Canon S110 (198 g pour environ 400€) qui reste le champion du rapport performance / compacité. A noter que le Canon G15 a lui aussi subit une cure d’amaigrissement : il est moins épais de 1 cm et moins large de 1,2 cm que le P7700. Avec 352 g. il pèse 40 g. de moins que le P7700.
Et hop ! Une petite correction d’exposition négative du pouce, pour obtenir une image bien dense afin de retranscrire l’atmosphère de cette fin d’après midi d’automne. En route sur mon vélo ce jour là, je n’aurais certainement pas emporté mon reflex avec un 70-200 mm. Heureusement, le P7700 trainait par hasard dans mon sac à dos… Mode Programme – 1/800 sec – f/4 – 100 ISO – 200 mm.
Quand au Sony RX100 (star de l’année 2012), il ne pèse que 240 g. Soit 152 g de moins que le P7700, ce qui fait une différence très perceptible au quotidien…
D’autant qu’il est moins épais de 1.4 cm, moins large de 1.7 cm et moins haut de 1.4 cm. Une compacité qui risque d’emporter la décision pour pas mal d’utilisateurs. Du moins pour ceux qui ne regardent pas à la dépense. N’oublions pas que le RX100 coûte 150 € de plus que le P7700, peut-être à cause de son grand capteur.
Pour résumer notre première impression, le P7700 appartient à ce genre des « gros » compacts qui rassurent, mais qui ne sont pas toujours faciles à vivre… Par exemple, son objectif se rétracte mais il ne profite d’aucun volet de protection automatique.
Quel dommage, c’est si agréables sur les Canon G15, S110 et même sur le Sony RX100… Heureusement, à l’avant de l’objectif, un pas de visse de 40,5 mm accueil un pare-soleil (HN-CP17), que malheureusement peu d’utilisateurs penseront à acheter. Rappelons qu’un pare-soleil protège très efficacement des chocs et des projections, vous permettant de ranger une fois pour toute, le bouchon d’objectif dans le sac. Ce qui sera plus pratique que de l’attacher à un fil (ce que suggère Canon sur le « gros » G1X).
Les possibilités créatives du zoom 28-200 mm f/2.0-4.0, restent uniques sur un compact… Démonstration ici avec trois focales typiques : 28, 50 et 200 mm. Seul le Canon G15 s’en approche un peu, grâce à un zoom plus court, mais légèrement plus lumineux : un 28-140 mm f/1,8-2,8. Priorité Ouverture – 1/320 sec – f/6,3 – 100 ISO – De gauche à droite : 28, puis 50, puis 200 mm. Télécharger ce montage en haute définition.
Rarissime : 28-200 mm f/2,0-4,0 – Robert Capa avait dit un jour : « si ta photo n’est pas bonne, c’est que tu n’étais pas assez près ». On peut certes donner plusieurs interprétations à cette phrase du fondateur de Magnum. Mais j’aime à penser que
s’il avait vécu au 21em siècle, il aurait peut-être ajouté : « ou alors c’est que tu avais oublié ton 200 mm f/4 »… S’il est un point sur lequel le P7700 (comme ses prédécesseurs) domine tous ses concurrents disponibles au moment de notre test, c’est ce fameux zoom x7,1. Un exceptionnel 28-200 mm f/2.0-4.0, dont la plus longue focale (200 mm) reste inégalé en 2013, tout en profitant d’une excellente ouverture de f/4.0 à la plus longue focale… Si avec mon reflex je refuse de me passer d’un excellent 70-200 mm f/4, comment pourrais-je m’en passer, sur le petit compact sensé m’accompagner au quotidien ?
En face, le Canon G15 ne zoom pas aussi loin, bien que son zoom 5x (un 28-140 mm f/1.8-2.8), soit tout à fait remarquable lui aussi… Notamment grâce à son ouverture en très gros progrès face au G12 (un 28-140 mm f/2.8-4.5 assez sombre). Du point de vue optique, la génération 2013, fait donc le trou face à ses ancêtres… Le Sony RX100 profite quand à lui d’un 28-100 mm f/1.8-4,9 (zoom 3,6x), intéressant par sa luminosité au grand angle, mais chutant rapidement avec la focale… Mais 100 mm seulement : je trouve ça plutôt frustrant au quotidien. Ce range focal timide s’explique probablement par les contraintes optiques imposées par son capteur géant (unique au monde rappelons-le). Ce qu’il perd d’un côté, le RX100 peut éventuellement le rattraper d’un autre : son capteur à la surface presque trois fois supérieure, lui permet de grimper à la résolution inédite de 20 Mpix en préservant une qualité supérieure à celle de ses compétiteurs.
Par contre, il faut souligner que ce capteur géant handicape le Sony RX100 en macro, alors que le P7700 excelle en cela, comme la plupart des compacts à capteurs 1/1,7 pouces (plus le capteur est petit, plus on peut s’approcher et plus la profondeur de champs est confortable). Le P7700 peut s’approcher à 2 cm du sujet, produisant des images saisissantes et ouvrant de nouveaux champs d’investigation aux plus imaginatifs.
La stabilisation efficace m’a permit de descendre à 1/10 sec sans risque de bouger. Ajoutez à cela, la très bonne luminosité du zoom (y compris aux longues focales) et j’ai pu réaliser cette image nocturne sans dépasser les 800 ISO. Priorité Ouverture – 1/10 sec – f/3,5 – 800 ISO – 152 mm.
Le 200 mm : outil créatif – S’il fallait retenir qu’une chose de ce Nikon P7700, c’est son extraordinaire 200 mm f/4, qui est un fantastique atout créatif. Il permet par exemple, d’isoler facilement un portrait de l’arrière plan. D’autant qu’il est bien aidé par la grande ouverture et une stabilisation efficace (de seconde génération). De quoi réaliser facilement de magnifiques portraits, avec un respect idéal de la géométrie du visage qui paraitra moins rond qu’au 100 mm. Ajoutez à cela un soupçon de correction géométrique dans Lightroom (manuellement pour l’instant) et vous obtiendrez des images d’une rigueur impeccable. La version 4.2 du logiciel Adobe décode les RAW du P7700, mais ne profite pas encore d’un profil de correction automatique de l’objectif. J’ai toutefois remarqué que le profil du P7100 fonctionne bien. La correction automatique devrait être proposée binetôt, via une mise à jour gratuite de Lightroom 4, il faudra obligatoirement mettre à jour votre Lightroom 2 ou 3.
Comme avec un reflex, j’ai pu constater avec le P7700, que le 200 mm est une focale qui permet de sortir quelque chose, même lorsque la lumière n’est plus de votre côté… Par exemple, j’ai pu réaliser par hasard, une assez belle image en ombres chinoises dans une rue du 9em déjà noyée dans l’ombre… Alors que je pensais que la journée était finie. Le 200 mm est l’outil des compositions graphiques audacieuses et des silhouettes découpées à contre jour. C’est particulièrement vrai en ville, car un télé « rapproche » arrières plans et premiers plans, donnant une frontalité spectaculaire aux bâtiments en éliminant toutes déformations.
Au téléobjectif, les fuyantes sont inexistantes et la hauteur des arrières plans démesurée, aide à prendre conscience de la hauteur des buildings… A condition bien entendu, de disposer de suffisamment de recul. Le 200 mm est ainsi une focale « pédagogique », qui oblige le l’apprenti photographe à se déplacer, dans le but d’utiliser la focale qu’il a « choisi » préalablement. Pour exploiter ce 200 mm, il faut intégrer que ce n’est pas la distance du photographe au sujet, qui dicte le choix de la focale, mais l’inverse… C’est le choix préalable d’une focale, qui vous invite à vous déplacer. Ainsi, pour photographier une rue au 200 mm, pensez à vous reculer de plusieurs dizaines de mètres… Si je ne suis pas fatigué après une journée de photo, je me dis que c’est peut-être que je n’ai pas suffisamment marché !
Nocturne : on peut utiliser couramment 800 ISO avec le RX100, les résultats sont très correctes autant en JPEG qu’en RAW traité par Lightroom. De quoi réaliser en toute décontraction des images que l’on n’osait même pas tenter avec un compact, il y a seulement cinq ans. Et de tous les compacts actuels, il est bien le meilleur à ce jeux là. Priorité Ouverture – 1/50 sec – f/5,0 – 1600 ISO – 200 mm.
A l’impossible, nul n’est tenu – Après avoir salué ce 200 mm, mon petit regret pour ce P7700 est de ne pas disposer d’un vrai grand angle. A l’image du Canon S110, équipé d’un étonnant 24-120 mm f2.0-5,9… Un zoom 5x qui est l’objectif le plus polyvalent, actuellement disponible sur un compact expert. Car un vrai grand angle est irremplaçable en voyage. En échange d’un 24 mm, j’aurais bien volontiers accepté quelques concessions en terme d’ouverture. Un reproche que j’adresse plus encore aux Canon G15 et Sony RX100, qui ne « montent pas » jusqu’au 200 mm, eux ! Au moins le Nikon P7700 a-t-il clairement fait le pari d’une très longue focale.
D’autres fabricants ont fait le choix d’amplitudes plus modestes, afin de démarrer au 24 mm ce qui autorise accessoirement une grande ouverture. Par exemple le Panasonic Lumix DMC-LX7 profite d’un 24-90 mm f/1.4-2.3 (zoom 3,8x). Equipé d’un capteur MOS de 10 Mpix, il ne pèse que 269 g, ce qui fait de lui un compact assez séduisant. Malheureusement, sa longue focale est trop courte à mon goût (notamment en portrait)… Ce qui est finalement rassurant, c’est de constater que la poignée de compacts experts disponibles en cette fin 2012, ont tous des personnalistes différentes. Pesant 294 g, le Samsung EX2F est équipé d’un étonnant 24-80 mm f/1.4-2,7 (zoom 3x), lui aussi trop court… Sa grande ouverture lui permettra d’éviter la montée en sensibilité, ce qui fera oublier des performances en haute sensibilité, souvent en retrait de Canon et Nikon.
Signalons qu’une bague amovible cercle la base de l’objectif du P7700, pour accueillir des compléments optiques. Mais aucun n’a été annoncé jusqu’alors. Le complément grand angle WC-E75A du P7100, ne s’adapte pas sur le P7700, malheureusement… Il semble encore impossible en 2012, de réunir dans un seul compact, toutes les caractéristiques dont nous rêvons… Un constructeur sera-t-il un jour capable de proposer un 24-200 mm f/2-4, illuminant un capteur géant de 1 pouce ? En attendant, il faudra choisir entre longue focale et grand-angle. Ou encore, entre grand capteur et macro performante.… Nikon devrait proposer son P7700 en deux versions : l’une en 24-120 mm et l’autre en 28-200 mm. Un photographe expert se promenant souvent avec deux boîtiers, les deux feraient la paire !
La suite à lire ici : Partie 2…
- Test terrain Nikon P7700 : Partie 2.
- Test terrain Nikon P7700 : Partie 3.
2 petits compacts style un 21-50 et un 50-200 serait ideal
Ah oui ! J’avais déjà parlé de cette idée ici :
http://www.macandphoto.com/2012/09/panoramique-au-sony-rx100.html
et là :
http://www.macandphoto.com/2012/11/jai-touché-le-sony-rx1-le-premier-compact-full-frame.html
Idée folle : s’il semble techniquement impossible de créer un compact de haute tenue, équipé d’un 24-200 mm à grande ouverture… Alors suggérons aux fabricants de nous proposer un couple de compacts complémentaires, spécialement destinés aux photographes experts et pro :
Le premier serait équipé d’un 24-70 mm (en privilégiant une grande ouverture).
Et le second d’un 70-200 mm (en privilégiant le range focal).
Et de proposer un kit avantageux lorsque l’on achèterait les deux ensemble ! Tant il est vrai que les pros ne voyagent jamais avec un seul appareil, mais la plupart du temps avec deux… Avec ces deux compacts couvrant un tel range focale, il deviendrait presque possible de voyager en se passant de reflex.
Après tout, c’était presque un peu l’idée derrière les Nikon 35Ti et 28Ti… Mais depuis cette époque, les progrès réalisé sur les compacts sont vraiment époustoufflants. Un travail de reportage ambitieux au compact de poche n’était guère envisageable à l’époque. Il l’est aujourd’hui…
Pour info, le fujifilm x10 est à 329 € sur vente-privée. Je me laisserais bien tenter par le X20 après avoir donné le g12 à ma fille. Je voudrais vraiment un compact avec un bon viseur (si en plus il donne les infos !), mais il y a 2 choses dont je ne peux me passer : un bon viseur et un petit flash embarqué.
pour visualiser les images sans deployer l’objectif
appui 3 secondes sur bouton Play, sur le p7000 ca fonctionne comme ca
[…] Le Nikon P7700 : les compacts Nikon sont traditionnellement handicapés par leur électronique anémique (générations après générations)… Plusieurs secondes pour digérer un fichier RAW : mais de qui se moque-t-on ? J’avais aussi testé le Nikon P330 : une catastrophe ! De plus son capteur minuscule est dépassé à l’époque des capteurs de 1 pouce. Bien dommage tout de même, car le zoom 28-200 mm est unique en son genre et un véritable outil créatif comme je l’ai démontré durant le test terrain… […]
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