Alors, ces 36 millions de pixels, ça vaut le coup ? A quoi peuvent-il bien servir et ne pèsent-ils pas trop lourds ? Pour tenter de répondre à ces questions, il nous fallait trouver un terrain de jeux « à la hauteur ». Il fallait au minimum explorer l’immense réserve Kényane du Massai Mara, pour mettre à l’épreuve un boîtier aussi ambitieux que le Nikon D800.
Texte et photo : Jean-François Vibert
… partie 1 sur 4 :
Trente six millions de pixels ! Lorsque la résolution s’envole vers de tels sommets, certains hésitent : mes optiques seront-elles à la hauteur, mon informatique sera-t-elle assez puissante ? Le photographe lui-même, sera-t-il à la hauteur ?
Pour toutes ces raisons, il nous fallait tester ce Nikon D800 pendant 10 jours en conditions réelles, avec pour seule solution de stockage quelques disques USB et un Macbook Air alimentés par la seule batterie de notre 4×4. Le tout en pleine saison des pluies, qui eurent tôt fait de transformer les pistes du Massai Mara en torrents boueux…
Un Safari Africain est une sorte de graal, un pèlerinage que beaucoup de photographes rêvent d’entreprendre, mais que peu concrétisent… Un peu de la même façon, le passage à un capteur full frame de très haute résolution (nécessairement accompagné d’optiques coûteuses), procède de la même démarche ambitieuse, refusant les concessions. On relèvera d’ailleurs, que passer d’un reflex APS-C à un full frame, coûte à peu près le même prix que 10 jours de Safari au Kenya (NDLR j’ai écrit ça, AVANT l’arrivée du D600).
Priorité vitesse – 1/250 sec – f/10 – 400 ISO – 400 mm (200-400 mm f/4 VR).
Au delà de la résistance du D800 aux intempéries (dont je ne doutais pas trop), je voulais vérifier à quel point les possibilités de recadrage promise par ses 36 Mpix, s’avéreraient utiles. Lorsque par exemple, est un peu loin de son sujet : un groupe de lions en plein festin qu’il ne fallait mieux pas déranger…
Je voulais aussi tester la bascule rapide du mode FX au DX, qui multiplie la focale par 1,5 en produisant une image de 25 Mpix (moins encombrant, qu’un recadrage à postériori d’une image de 36 Mpix).
Car plutôt que les performances du D800 en haute sensibilité, c’est bien la problématique du poids des fichiers RAW, qui inquiète davantage les possesseurs de D700 susceptible de sauter le pas… D’autant qu’à l’heure ou je rédige ces lignes, Nikon ne propose pas encore de solution intermédiaire en full frame dans sa gamme expert (cet éventuel D600 de 24 Mpix régulièrement évoqué sur Internet). Et de nombreux photographes pro ou experts, n’auront d’autres choix que de passer d’un coup, de 12 Mpix à 36 Mpix. Un saut de résolution, éventuellement intimidant…
J’ai pu constater sur mon petit Macbook Air, que le Développement des NEF se passe bien et je n’ai pas déploré de lourdeur insurmontable… C’est grâce à une caractéristique extraordinaire de Lightroom, qui travail en fait, sur des version réduites des images en Module Développement (de 1/2, 1/4 et 1/8 de la taille originale, selon la taille de votre écran). Cela garanti une certaine fluidité lors de la manipulation des curseurs…
Priorité Ouverture – 1/640 sec – f/4 – 800 ISO – 380 mm. (200-400 mm f/4 VR).
Prise en main « virile »
Le premier contact avec le Nikon D800 suscite des « woaouuuh » de satisfaction. Pour 2899 € (seulement oserais-je dire), on peut dire qu’il en offre beaucoup… Il semble plus arrondi et légèrement plus compact que son ancêtre. C’est mieux ainsi, je trouvais le D700 trop gros… Bien que son prisme surmonté d’un flash (bienvenu) soit assez haut, le D800 se glisse plus facilement dans un sac à dos bourré à craquer.
Heureusement ! Car lors de cette expédition, le mien était plein à craquer. Outre l’indispensable Macbook Air, quelques disques et accessoires, il embarquait aussi le zoom Nikkor 14-24 mm f/2.8, le 24-70 mm f/2.8, le 70-200 mm f/2.8, l’exceptionnel 200-400 mm f/4… Sans oublier un multiplicateur x1,7 et un Nikon D7000 en backup. Environ 18 kilos de matériel, qu’heureusement je n’eu pas trop souvent à transporter à pied. Les moments les plus délicats furent sans doute le passage des contrôles de sécurité à l’aéroport et l’embarquement en cabine. Mais heureusement personne ne s’inquiéta de ce surpoids évident !
Il aura fallut attendre des années pour ça, mais on peut enfin activer directement la sensibilité ISO Auto, sans passer par les menus. C’était une plaie précédement. Il suffit d’appuyer sur le bouton ISO (toujours maladroitement situé sur le trèfle de sélection de l’épaule gauche) et de tourner la molette avant. La même touche, servira avec la molette arrière à régler la sensibilité fixe. Et hop, voilà un second bouton à double fonction (comme chez Canon, qui avait eu le tord de les regrouper tous au même endroit)…
Priorité Ouverture – 1/1600 sec – f/4,8 – 1000 ISO – 120 mm (70-200 mm f/2.8 VR).
Pensant environ 1 kg avec carte et batterie, le D800 reste un boîtier virile, pour ceux qui accordent la priorité à l’image plutôt qu’au confort de portage… Pas de problème, en 4×4. Mais attention pour les ballades à pied du week end ! Rappelez-vous avant d’opter pour un reflex full frame (plutôt qu’un APS-C), qu’il est conseillé d’utiliser le D800 avec des optiques relativement lourdes… Et coûteuses !
Le poids du D800 est identique à celui de son concurrent direct, le Canon EOS 5D MkIII qui s’est alourdi en prenant du muscle. Je donnerais cher, pour que ces deux là soient plus compacts. Mais les habitués des gros télés apprécient ce poids et ce volume. Ils tiennent même à utiliser leurs poignées dédiées pour améliorer la prise en main verticale… Très peu pour moi ! Je m’en suis passé, même avec le 200-400 mm, d’autant que l’autonomie de la batterie est suffisante. Il y a longtemps que je n’achète plus ces coûteuses poignées…
Boîtier et objectifs ont passé une dizaine de nuits dans le 4×4, ou sous la tente, sans que je réussisse à déterminer quel était l’endroit le moins humide, puisqu’il a plu un peu tous les jours… Le D800 est semi tropicalisé, j’ai donc photographié sans inquiétude sous les averses pour tenter d’imiter Vincent Munier.
Et me suis fait copieusement arrosé de boue et de poussière (le toit du 4×4 pouvait être découvert pour faciliter les photos). Sans buée, ni conséquences fâcheuse, à part quelques poussières déposée sur le capteur lors des nombreux changement d’objectifs. A ce propos, qu’attend donc Nikon pour nous proposer des points rouges à l’extérieur et l’intérieur des bagues, pour accélérer leur repérage ?
Equipements professionnels
Le viseur du Nikon D800 est large et clair, son oculaire rond dans la tradition des Nikon Pro. Un vrai plaisir, notamment avec des optiques à grande ouverture (la visée sur un reflex se faisant à ouverture maximale)… Il m’a toutefois un peu moins impressionné que celui de l’EOS 5D Mk III, qui est encore plus lumineux (j’écris cela après comparaison sur pièce et non sur la base des spécifications). Il propose l’affichage d’un quadrillage dont je n’ai guère eu l’utilisation dans la nature, mais qui s’avèrera précieux en ville ou en mer.
Malgré sa cadence modeste de 4 im/sec, le D800 reste assez bruyant. Son claquement sec peut s’entendre de loin. Paradoxalement cela s’est avéré utile pour attirer le regard des lions… Son mode Quiet (Q) est décevant car il ne fait que dissocier le déclenchement en deux temps. Un point faible, ace à l’époustouflant mode Quiet de l’EOS 5D Mk3, qui intéressera les photographes de spectacle et d’espèces farouches. Ajoutons qu’en vidéo, la bande son enregistrera tout changement de diaphragme.
Lors de ce Safari, j’ai beaucoup apprécie le double slot CF / SD, qui permet de ne pas compter ses coups. Notamment en photo animalière car les cartes se remplissent vite. J’ai choisi le réglage en débordement : écriture sur la carte SD dès que la CF est pleine. D’autres options sont disponibles : en miroir, répartition, etc…
Priorité vitesse – 1/400 sec – f/13 – 320 ISO – 650 mm. (200-400 mm f/4 VR + multipl. x1,4).
Lors de ce Safari, j’ai beaucoup apprécie le double slot CF / SD, qui permet de ne pas compter ses coups. Notamment en photo animalière car les cartes se remplissent vite. J’ai choisi le réglage en débordement : écriture sur la carte SD dès que la CF est pleine. D’autres options sont disponibles : en miroir, répartition, etc… J’avais emporté trois CF 16 Go rapides (60 Mo/sec) et de trois SD 32 Go moins coûteuse (45 Mo sec), histoire de faire éventuellement face à quelques jours sans ordinateur.
La cadence de 4 im/sec restant modeste, je n’ai pas été gêné par la vitesse modeste des cartes SD. Mais j’ai trouvé le buffer assez décevant pour un tel appareil (j’avais fait le même reproche au D7000). On peut enchainer des rafales de 50 images en JPEG, mais en RAW le buffer sature après 16 vues et la cadence d’effondre ensuite…
Je n’ai pas été impressionné par l’écran du D800, Canon garde l’avantage avec une surface un poil plus large et un ratio 3/2 qui évite les bandes noires, en vue d’afficher les images en plus grand. Je me suis vite débarrassé de la traditionnelle protection amovible qui gène ma vision… Il me semble qu’elle ne sert à rien, sauf à rassurer les maniaques ! Un reflex est un outil de travail, il ne faut pas craindre de le « patiner » un peu…
D’une façon générale je vous recommande d’ailleurs d’éviter les protections d’écran, en plein jour leur lisibilité est mauvaise. Ce sont probablement des questions de fiabilité qui privent ce type de reflex full frame d’écrans orientables. Dommage pour les vidéastes, pour les images depuis le hublot du cockpit et pour les angles innovants en contre plongée (on n’était pourtant pas à 50 gr près).
Signalons enfin un petit plus utile du D800 : son flash embarqué, qui me manque cruellement sur l’EOS 5D, car je n’emporte pas de flash en voyage. Pas la place ! Il est suffisant pour déboucher un portrait en extérieur (avec une correction de -1/3), mais attention avec les pare-soleils notamment avec celui du 14-24 mm. Il sait même piloter des flashs externes, ce qui évitera l’achat d’un transmetteur.
Ergonomie des « petits plus »
Dépourvu de molette des Modes rapide, le D800 reste dans la tradition des reflex pro. Il faut donc appuyer sur le bouton Mode puis tourner une molette pour en changer. C’est un peu archaïque face à une molette verrouillable (façon EOS 5D Mk3), mais au moins, le D800 ne change-t-il pas de mode sans prévenir ! Comme ce satané D7000, dont la molette m’a encore piégé et qui persiste à sur exposer (ça se confirme).
Vu de dessus on distingue le bouton rouge de déclenchement de la vidéo, idéalement situé à proximité de l’index près du déclencheur… J’apprécie cette position typique du commutateur On/Off, on n’a jamais fait mieux pour allumer rapidement son reflex (même si je ne l’éteint jamais et l’oublie toute la journée et parfois même la nuit en veille).
Il y a du mieux, du côté de la revue des images… On saluera (enfin) l’arrivée d’un mode « simple » totalement dépourvu d’indications (qui fait terriblement défaut au D7000). Ne manque qu’un écran 3/2 pour éliminer les bandes noires en haut et en bas… Ce mode d’affichage « simple » se paramètre dans l’onglet Visualisation, qui nécessite toujours une validation à la fin, en cliquant sur « Terminer »…
Priorité Ouverture – 1/1000 sec – f/6,7 – 800 ISO – 650 mm. (200-400 mm f/4 VR + multiplicateur x1,4).
Le réglage de la cadence est toujours accessible par une discrète molette rotative sur l’épaule gauche du boitier, dont les pictogrammes sont désormais lisibles sous tous les angles (plus nécessaire de basculer le boîtier vers sois pour les lire, comme sur le D700). Je regrette, que le réglage de sensibilité ISO reste scotché sur le trèfle de gauche ; moins pratique qu’un bouton accessible de l’index droit à mon avis… Ce trèfle comporte désormais une touche Bracketing, qui autorise de 2 à 9 vues, espacées de 0,3 à 1 diaph…
Nikon comme Canon étant obligés de suivre (un peu) la mode, le D800 propose même un mode HDR. On n’a pas fini de voir des horreurs sur Internet ! Je n’ai même pas pensé à l’essayer, j’ai par contre utilisé l’outil de recadrage qui transforme un RAW en JPEG. Plutôt comme un moyen de me rappeler de ne pas oublier certaines images intéressantes, puisque Nikon ne propose pas encore de système de notation par étoiles… Dommage car cela permet de prendre un peu d’avance « à chaud » sur l’éditing. Ce n’est pas un gadget, ces étoiles étant lue par la plupart des logiciels, notamment Lightroom.
Il existe un moyen d’alléger un peu le poids de votre production. Si le format FX natif produit des images de 36 Mpix (7360 × 4912) sans conversion de focale, il existe 3 facteurs de recadrage… Ils produisent des images plus légères, grâce l’utilisation d’une portion de la surface du capteur. Ce qui multiplie la focale par x1,5, ou par x1,2. Les 51 collimateurs AF occupent alors une surface proportionnellement plus large dans le cadre.
Priorité Ouverture – 1/1600 sec – f/9 – 800 ISO – 100 mm.
Nikon propose comme d’habitude de nombreux petits plus, qui séduisent les professionnels. Par exemple ce « double bouton vert » qui réinitialise tous les réglages. Attention à ne pas le confondre avec le « double bouton » rouge de formatage de carte, un classique Nikon appréciable également.
Message aux Canonistes qui serait tentés par le D800 : il est possible d’inverser la disposition des molettes avant et arrière (ouverture et vitesse) et leur sens de rotation… Désormais, le barre graphe d’exposition (écran et viseur) indique la sous exposition vers la gauche, ce qui est plus cohérent avec l’affichage de l’histogramme… Mais on pourra inverser si l’on préfère l’ancienne disposition.
Menus toujours confus
Autre exclusivité Nikon appréciée des photographes d’agence, la possibilité de mémoriser vos paramétrages sur une carte, pour les recopier sur un autre exemplaire du même modèle… Ainsi à chaque fois que j’emprunte un reflex à la Nikon School, je suis instantanément opérationnel sans avoir à tout régler à nouveau ! Ce qui est assez long chez Nikon, vu la richesse (la complexité) des menus.
A ce propos, carton rouge pour les menus du D800 qui ne progressent pas. Des années que je perds mon temps à explorer tous ces onglets, sans jamais réussir mémoriser « quoi est ou ». J’hésite toujours entre Prise de vue, Réglages Perso et Configuration… Rien ne change, quelques couleurs ont été ajoutées, mais ça n’aide pas : je rêve d’une refonte globale ! Dire que pendant ce temps, les excellents menus Canon parviennent à se raffiner à chaque génération.
Pour vous en sortir, ajoutez dès la prise en main vos menus les plus utiles à la liste des menus personnalisés, qui est heureusement assez longue…
A noter que je n’utilise jamais le menu arrière de pilotage, après 10 ans de reflex argentique, on ne se refait pas ! Le petit écran monochrome supérieure est plus économique et tout aussi lisible… Si toutefois vous l’appréciez (question d’habitude), activez la personnalisation qui permet de l’activer par le bouton On/Off, en même temps que l’éclairage de l’écran monochrome.
Il y a heureusement du mieux, du côté de la revue des images… On saluera (enfin) l’arrivée d’un mode « simple » totalement dépourvu d’indications (qui fait terriblement défaut au D7000). Ne manque qu’un écran 3/2 pour éliminer les bandes noires en haut et en bas…
Ce mode « simple » se paramètre dans l’onglet Visualisation, qui nécessite toujours une validation à la fin, en cliquant sur « Terminer »… Je ne comprends pas qu’une tracasserie aussi archaïque, subsiste de versions en versions. Tant que vous êtes dans le menu Visualisation, désactivez aussi la rotation auto des images. Vous pourrez ainsi vérifier vos images verticales en plein écran sur le boîtier (elles resteront verticales sur l’ordinateur).
J’ai beaucoup apprécié la nouvelle possibilité de zoom rapide, que l’on peut attribuer au bouton centrale du trèfle arrière (plus rapide que la loupe avant / arrière, elle me manque sur le D7000). Il faut dire qu’avec une telle résolution, il est extraordinairement jouissif de vérifier le piqué de ses images ! Par exemple pour découvrir le reflet du 4×4 dans l’œil d’un lion…
Il faudra choisir l’un des 3 taux d’agrandissement disponibles. Pour en changer rapidement, ajoutez le menu idoine au menu personnalisé. Celui-ci se cache dans la section : Réglages personnalisés > Commandes > f2 Bouton central du sélecteur.
… à suivre ! Par ici : (partie 2)
Safari avec African Lattitude
Robyn et Michel d’African Latitude, organisent des Safari itinérants depuis 1987 au Kenya et en Tanzanie. De nombreux photographes spécialisés font appel à leur logistique sans faille.
Visitez leur site en Français et demandez leur un programme sur mesure en autonomie complète, ce qui permet une immersion totale en pleine nature.
+254 20 3533338. www.africanlatitude.com
Ecrire des articles de fond (test terrain) prend énormément de temps… Mais c’est ceux-là qui vous intéressent le plus (et moi aussi). Je ne sais combien de temps je pourrais continuer à enrichir ce blog (qui existe depuis plus de 10 ans) sans rémunération directe. En effet, depuis que le Mensuel Déclic Photo a disparu, l’écriture des « tests terrain » n’est plus financée en quelque sorte).
Donc pour « garder le rythme », je compte un peu sur « l’investissement » sur ce blog, que vous pourriez faire par vos dons via Paypal. Merci d’avance et bonne lecture…
Je rêve ou c’est du publireportage pour l’agence de voyage qui a organisé le safari ?…
C’est tout de même triste de voir le mal partout, Jumbo !
Non, évidement, il n’y a pas de publi-rédactionnel sur macnadphoto. C’est pas le genre de la maison… La prestation a été payée à African Lattitude.
Si j’ai mis un lien, c’est juste parceque je considère que cette agence (animée par un Français) est un bon plan ! Il y a d’autres bon plans, mais j’étais content…
L’équipe (cuisiner chauffeur) qui nous a accompagné était sérieuse et sympa. Passionnés par leur boulot… Donc un bon plan pour les lecteurs qui rêvent de s’offrir un Safari photo…
Un truc à faire, au moins une fois dans sa vie…
merci pour ce test terrain. Entre le D800 et D800 E ?
Lequel conseillerais tu ?
Très chouette voyage, veinard !
Pour ma part, le D800 me plairait bien, mais je pense me limiter au D600 plus raisonnable en terme de stockage et poids de fichiers…
Il aurait tres bien fait l’affaire ici j’imagine. Avec ses 5,5 im/sec.
Ah enfin on parle photo ! çà fait plaisir de revenir sur des sujets que tu maîtrises :)
oui quel plaisir !
..et ou ton avis est aiguisé et objectif surtout…
Excellent test. Pour quand le test du D600 (plus dans mes moyens) ?
La vraie question est pourquoi on ne peux pas télécharger les raw?? Pitié…
@Sébastien :
Il voudrait quoi en plus ? Une petite pipe ?
@ Gérald
Tu dois être bien malheureux pour être aussi méchant!
Les photo avec des ciels pluvieux/orageux c’est vraiment bcp mieux que les ciels tout bleus, tout vides ! belle série d’images (sauf le buffle avec la corne coupée :( )
En effet, cette série d’articles sur le D800 est très appréciable.
Un beau test terrain avec des avis argumentés, voilà des articles comme j’aime lire ici (contrairement aux humeurs économico-politiques… mais bon, on va pas revenir dessus, JFV est ici chez lui !)
Mon seul petit regret, mais c’est un peu HS, c’est de ne plus avoir de posts « prospectifs » concernant l’évolution du matériel et le futur de la photo.
J’imagine que vu le nombre de matériels testés, JFV a de bonnes relations avec les grandes marques pour entendre ce qui risque de voir le jour…
Tous mes investissements sont bloqués dans l’attente d’un hypothétique DX « expert/pro » (et j’en connais pas mal dans ce cas), donc vivement les prochaines annonces !
En attendant, je continue de lire tous ces tests et prises en main. Merci !
Comme je vais reprendre du service à faire mes voyages je me suis mis à lire ton blog.
A la lecture de ton materiel photo le canon eos5S et moi avec mon D800 je me suis mis à rever de ce 50 millions de pixel.
Puis je lis ce test terrain du D800 au kenya, et bien figure toi que je garde mon D800 et je vais faire comme toi pour un apc mais je vais prendre le D500.
Merci l’ami photographe