Et non ! Ce n’est pas aujourd’hui qu’Apple aura présenté un véritable successeur au Powerbook G4, je suis déçu, car j’attendais une amélioration genre « bio design » des Macbook Pro ! Zut, zut, zut et rezut…
Il n’est donc pas impossible que je finisse par me tourner vers un mini PC… afin de pour me « concoter » un super videur de carte « deluxe » sur mesure… Mais parlons plutôt d’autre chose !
Faisons contre mauvaise fortune, bon coeur… Je vous propose donc d’essayer de « faire durer » votre Macbook actuel en attendant une « véritable mise à jour ». En faisant notament « un peu de place » sur son vénérable disque dur !
Un jour ou l’autre, on a tous eu besoin de faire un peu de place sur son Mac (d’urgence parfois)… Cela arrive notamment aux photographes voyageurs, qui lors de leurs déplacements travaillent sur un portable au disque dur un peu juste. Tout particulièrement si ce disque a été partitionné et que la taille de la partition système ait été quelque peu sous estimée (ce qui m’est arrivé parfois)…
Avant d’évoquer les moyens divers, de « faire de la place » sur son disque (notamment avec le Génial Xslimmer et le non moins étonnant GrandPerspective), il me semble nécessaire de développer un peu cette question de partition…
Comme beaucoup de collègues, j’ai pris l’habitude de scinder le disque de mon Macbook Pro en deux partitions (le mien est de première génération et ne propose malheureusement que 93 « petits » Go utiles, cet espace n’est pas énorme lorsque l’on produit 3 à 6 Go d’images par jour).
Ma première partition « 1-SYST+SOFT » est de 40 Go (je répète qu’il ne s’agit que d’un cas particulier, la votre sera plus ou moins vaste en fonction de vos besoins).
« 1-SYST+SOFT » reçoit le Système et mes trop nombreuses Applications (étant également formateur, j’ai besoin d’installer « toutes » les applications photos, même celles que je n’utilise pas)… Dans la mesure du possible j’évite de surcharger cette partition de choses « futile », car il s’agit tout de même de mon outil de travail principal. Exception à cette règle stricte, j’y conserve un peu de musique (6 Go actuellement, mais ça varie).
Je veille également à conserver un minimum de 2 à 3 Go d’espace vide (souvent un peu plus), pour permettre au système de « respirer »…
Lors de l’intallation du système, je n’oublie surtout pas de décocher toute les applications inutiles : à la trappe iPhoto, Garage Band, iDVD, iMovie, et tout le reste de la suite iLife. Je ne les installe (par acqui de conscience) que sur ma station de travail, mais sans jamais m’en servir (faute de temps)… A la poubelle également les 2 ou 3 Go de
pilotes d’impression inutiles, les langues et polices suplémentaire (sauf le
Chinois pour Sharon qui s’en sert régulièrement). J’installe enfin Office dans sa version la plus « light », j’utilise particulièrement Entourage, Word et Excel…
Avantage de cette orginisation, il est possible de « cloner » la partition « Système » très rapidement (pour la sauvegarder), sans être obligé de « cloner » tout le contenu de l’ordinateur notamment la partition recevant les images, ce qui est généralement 2 à 3 fois plus long (seule la dernière version de Carbon Copy Cloner permet de sélectionner le détail des dossiers et sous-dossiers à cloner, mais avant, c’était moins pratique)… Je clone donc plus souvent cette partition puisque c’est très rapide !
Mon système de sauvegarde n’est effectivement pas le même pour ce
qui concerne le Système d’une part (clonage et / ou le génial Time
Machine despuis peu)… et les travaux d’autre part (surtout depuis que
Lightroom propose l’option géniale « Exporter en tant que Catalogue »)…
Sans doutes y reviendrons-nous plus en détail un autre jour (je
l’explique en tous cas lors de mes formations).
Passons maintenant à la seconde partition : « 2-JOBS »…
Celle-ci est dédiée au stockage des travaux en cours
notamment des photos. Elle abrite également mon (mes) catalogue(s)
Lightroom (oui il est possible d’en utiliser plusieurs mais je ne vous
le conseil pas) et mes nombreux catalogues Expression Media (je
vous conseil de les multiplier), ainsi que ma (petite) base Aperture.
Si j’emène quelques Divx en voyage (que je n’ai jamais le temps de
regarder malheureusement), je les stock de préférence sur un disque externe ou sur cette seconde
partition (d’ou elle seront rapidement effacée au fur et à mesure de
l’arrivée des photos)…Et je ne place surtout rien dans mon
dossier séquences, ni dans mon dossier « Images » (qui reste lui aussi
désespérément vide), pour éviter de fragmenter la première partition.Sur mon Macbook pro actuel, il ne reste malheureusement que 53 Go
pour cette seconde partition, ce qui est très souvent insuffisant (dès
que le séjours dépasse la semaine)…
Avantage de
ce système à deux partitions, il me suffit « d’effacer » la partition
« JOBS » au retour de chaque voyage (après avoir évidement déplacé mes
travaux sur ma station de travail principale) pour disposer d’une
partition « absolument neuve »… Voilà qui est extrèmement pratique et
rapide grâce à « Utilitaire de disque ». Je procède donc à ce formatatge
très régulièrement.
Ainsi, les fréquentes écritures / effacement de données de travail
(photos et divx notamment) n’affectent jamais mon système, le but étant
d’éviter la fragmentation de la première partition. Car contrairement à
ce que laisse entendre Apple, les questions de fragmentation de
fichiers reste tout de même d’actualité avec Mac OSX (qui ne
défragmente automatiquement les fichiers qu’en dessous d’une certaine
taille, je ne rentre pas dans les détails aujourd’hui, mais on pourra
en parler en commentaires).
Je ne sais si cela tient à cette « hygienne
informatique » ou simplement à la chance, mais depuis mon premier Mac en
1991, je n’ai jamais déplorer le moindre « crash » de disque… Pas perdu
la moindre donnée, le moindre texte, la moindre photo (tout juste une
fois, ai-je formaté par erreur un disque contenant quelques films peu
importants dont je n’avais pas d’autres exemplaires). Je suppose donc
que ces méthodes sont les bonnes !
Attention toutefois… Partitionner le disque de votre portable
imlique tout de même une certaine réflexion. Il faudra notamment
évaluer au plus juste le poids de votre futur système et des
application, afin d’éviter deux travers possibles :
- Gaspiller de l’espace disque avec une première partition trop
généreuse (disposer de plus de 6 Go à 8 Go d’espace vide est
relativement inutile).
- Vous retrouver « à l’étroit avec une partition trop juste, ne
laissant pas assez d’espace vital au système pour « respirer »…
Je
connais quelques photographes s’étant retrouvé dans ce cas,
faute de surveiller l’espace restant sur leur première partition (Mac
OS X délivre pourtant de nombreuses alertes en cas d’espce insuffisant). Une de mes amie à ainsi « planté » son Syst!ème (plein à raz bord) qui
refusait de redémarer suite à une lourde mise à jour du Système (faute
de place). Heureusement il m’a suffit de « monter » son disque en mode
Target sur le bureau de mon G5, pour « faire de la place » et règler le
problème.
Que faire si votre partition système devient trop étroite ? Avant
l’arrivée de Léopard, il existait plusieurs solutions pour se sortir
d’un tel « mauvais pas ».
Première solution : la plus radicale et la
plus classique (puisque je l’utilisais depuis des années dans Mac OS9)
est absolument gratuite. Elle consiste à effacer carrément votre disque pour le
restructurer :
- Cloner le système vers un disque externe (avec Carbon Copy Cloner ou un autre logiciel), sans oublier de sauvegarder les données éventuellement présentes sur le partition n°2 !
- Redémarrer depuis le clone (en passant par Préférence Démarrage).
- Formater le disque d’origine en changeant la taille des partitions (attention ne le faites qu’après vous être assuré que tout ce qui y réside a bien été sauvegardé).
- Puis re-cloner le système dans l’autre sens… Et replacer les travaux sur la partition n°2…
Cela marchait (et marche toujours) très bien. Accessoirement, le
clonage à l’avantage de « défragmenter » la partition (en quelque
sorte)… Mais la manip’ demande un minimum d’attention, c’est assez
long et certains chemins peuvent parfois « se perdre », ce qui est plus
ou moins génant.Seconde solution : que j’ai testée il y a environ un an : le génial iPartition
de l’éditeur Anglais Coriolis System qui supporte aussi les volumes FAT
et NTFS… Il permet de changer « à la volée » la taille de vos
partitions sans les formater… Attention, c’est une opération facile à
réaliser mais tout de même « délicate ». Signalons au passage du même
éditeur le tout aussi génial iDefrag (à utiliser pour défragmenter éventuellement vos gros disques de stockage, ce que MacOSX ne fait pas forcément parfaitement).Troisième solution : utiliser Leopard (Mac OSX 10.5) qui permet lui aussi de changer
la taille de vos partitions à la vollée grâce à l’Utilitaire de disque.
Ce qui n’était pas possible avec les précédentes versions de Mac OSX… (j’ai pas encore testé ça).
Ceci dit, il n’est pas forcément obligatoire de modifier la taille de vos partitions. Souvent, mieux vaut « faire de la place » sur votre partition système un peu étroite… Et j’en arrive (enfin) à Xslimmer
(dire que c’est pour vous parler de lui, que j’avais commencé à écrire cet article),
ainsi qu’à un autre soft génial (dans une moindre mesure, mais tout de
même je l’adore), « GrandPerspective« .
De quoi s’agit-il ? Comme vous le savez, depuis l’arrivée des puces
Intel dans vos Mac, la taille de nombreuses applications dites
« Universal Binary » à carrément doublé (il y a du code PPC, auquel a été
rajouté du code Intel) ! Et bien Xslimmer élimie tout simplement le
code inutile en fonction du processeur de votre machine…
Cela marche
parfaitement et je l’ai appliqué à toutes mes applications (y compris
Adobe CS) sans que leur fonctionnement en soit affecté ! Résultat :
plusieurs Go d’économisés…
Passons maintenant à « GrandPerspective »
qui vous aidera à fignoler le travail… Après avoir scanné (c’est
souvent assez long) votre disque, il vous offre une vue graphique de la
taille de vos fichiers (très choli, il est possible d’utiliser
différentes harmonies de couleurs).
A vous de viser les plus gros « paquets » ! Ensuite il faut décider au
cas par cas, si vous pouvez vous en débarrasser ou pas (utiliser
Reveal » pour accèder au fichier, puis le bouton « chemin du finder » pour
révèler l’arborescente supérieure… Attention, à ne pas supprimer
certains lourd fichiers de cache du Système.
Sur notre exemple on
repère qu’il est très facile d’économiser
700 Mo d’espace en mettant toutes les « voix » de Mac OSX à la poubelle
( qui utilise la synthèse vocale ? )… Il s’agit du gros carré en bas à droite. Je le fais systématiquement sur
toutes mes machines sans aucuns domages. Les deux gros rectangles étant ma base de donnée Entourage et sa sauvegarde (on ne sait jamais).
Vous allez certainement découvrir également certaines archives .dmg que
vous pourrez suprimer… Grâce à ce logiciel, j’ai pu récupèrer plusieurs Go sur le
disque de mon portable, ce qui m’a permi d’éviter de devoir ajuster la taille de mes partitions ! Vraiment indispensable…
pas mal !
Si tu achètes un mini pc il faudra changer le nom de ton blog en « minipcandphoto.com » ;-)
mais cela ne me poserait aucun problème ;-)
Je ne suis pas un « Ayatollah du Mac »…
D’ailleurs ce blog est accessible également par :
http://www.sosphotonumerique.com
j’opterais peut-être pour cette URL un jour ?
génial article ! Merci, j’essaye…
Honnetement, je deteste ces questions de partition. Car de quoi s’agit-il exactement ? Pouvoir faire un clone rapidement ? Mais tu le dis toi meme, les CCC ne sont que des outils de copie, et non de vrai clonage, ce qui fait que certains chemins, certaines infos comme les dates, peuvent etre oubliees ou corrompues.
Maintenant que des disques externes sont d’un cout tres accessible pour des tailles bien superieures aux disques internes de nos portables (250 Go aujourd’hui et 320-500 Go demain), autant se simplifier la vie et cloner tout le disque et/ou se servir de Time Machine.
Non, vraiment, j’ai pratique ces partitionnements, mais leur utilite me depasse maintenant…
… oups, j’oubliais : tu fais l’impasse sur la deuxieme excellente fonction du genial Xslimmer : il peut aussi supprimer toutes les langues inutiles, et la on peut economiser parfois jusqu’a 90% de la taille du package original. Et noter qu’une liste noire est regulierement mise a jour concernant les applications ne tolerant pas une cure d’amaigrissement.
Je vais reswitcher très prochainement pour le nouveau MBP: vous dîtes que vous désactivez Iphoto (que j’ai toujours trouvé bien lent sur les Mac de mes proches). Quel outil utilisez-vous pour classer ou organiser vos images, en plus de Lightroom?
ça c’est de l’outil, je vais m’y coller de suite…
Toujours partitionner son disque, c’est une astuce que je ne connaissais pas et qui doit effectivement permettre de sécuriser un max les données…
Merci JF
Bonjour JF,
Au sujet de la possibilité de modifier la taille des partitions avec Leopard, il est possible de re-diviser une partition, mais à priori il n’est pas possible d’agrandir une des partitions existantes. J’ai été récemment confronté au problème pour agrandir ma partition Syst+soft, je n’ai eu d’autres alternatives que de cloner aller et retour pour en modifier la taille.
Whaouh !!! Tout ça est très compliqué, ne serait-il pas plus simple de changer ton disque dur ?
J’ai l’impression de revenir en 7.6 avec un disque de 40 Mo…
Ça m’fout l’blouze, du coup….
« Lors de l’intallation du système, je n’oublie surtout pas de décocher toute les applications inutiles : à la trappe iPhoto, Garage Band, iDVD, iMovie, et tout le reste de la suite iLife »
Il n’y a rien à décocher, iLife ne fait pas partie du système !
À part ça bon article, je fais la même chose avec deux partitions et un coup de Diskwarrior de temps en temps pour optimiser la partition système.
Tu devrais mettre ta musique avec les données, ça te ferait une journée de photos récupérable si tu as les originaux ailleurs.
J’ai eu aussi ma période « partitions ». Elle a duré jusqu’à un crash disk qui m’a planté tout d’un coup, et avec ces satanées partitions, impossible de récupérer quoi que ce soit, même avec un PC. J’avais des sauvegardes pour les docs importants, mais le disque était définitivement mort. Depuis, j’ai que la partition standard et tout va bien. En plus je n’ai plus à faire attention à la taille des partitions et quand je veux vider mon dossier images, je le met à la poubelle ;-) Ce disque partitionné a d’ailleurs été mon seul crash disk en 20 ans de Mac.
Carl, ton crash n’était pas forcément du au partitionnement…
Je suis d’accord que l’usage d’un disque partitionné complique un peu les choses pour les débutants, toutefois il est indispensable pour un professionnel…
Que se passe-t-il pour un photographe qui fait un ou deux sujets par semaines (je parle d’un pro)… Doit-il a chaque fois mettre à la poubelle ses images ou fois qu’elle sont copiées sur sa machine principale (ou son system de stockage ?)… Cela reviendrait à faire 50 ou 100 vidage de corbeille de gros dossiers par ans.
Je trouve plus rationnel de formater à chaque fois la partition Jobs.
Pour répondre à Phil : lorsque tu install ton système toi même, tu peux aller dans option et « décocher » l’installation de toute ou parti de la suite iLife.
Par défaut ces logiciels sont évidement installé, mais il faut mieux réinstaller son système sur mesure !
Leblaze : tu peux utiliser seulement Lightroom pour gèrer ta base de photo… Car c’est un « tout en un » : il sait tout faire.
JFV: Je suis d’accord que l’usage d’un disque partitionné complique un peu les choses pour les débutants, toutefois il est indispensable pour un professionnel…
Mes habitudes de configuration de machines ont bien évoluées au fil du temps. J’ai eu partitionné beaucoup. Avec la journalisation d’HSF+ et la confiance acquise après une quantité déraisonnable de plantages (je suis développeur Mac et je bosse en particulier sur des drivers, donc kernel panic à chaque bourde) et quelques années de rôdage, j’ai abandonné le partitionnage sauf raison précise : installation de plusieurs systèmes (MacOS X ou autres).
J’utilise un outil de backup qui me permet de clôner mon disque en tenant compte de listes d’exclusion. Ainsi j’obtiens des backups (automatisés) bootables de mon système et ses applications, et des backups de mes documents séparément.
J’ai depuis belle lurette un DVD toujours prêt avec DiskWarrior et quelques utilitaires du genre, et depuis 2 ans environ une clé USB équipée de la même façon, mais je n’ai jamais eu à m’en servir depuis le 10.4 en tout cas. Peut-être même 10.3, mais ma mémoire me fait défaut, je n’en suis pas sûr.
Deux problèmes récurrents : crashs disques (pas moi, je touche du bois pour que ça continue – des clients) ou fichiers effacés par mégarde (oui, bon, là, ça m’arrive, et pas plus tard que cette semaine encore – j’ai mes backups automatisés :). Pour celà, le partitionnage n’aide en rien.
J’ai néamoins tardé à complètement éliminer cette habitude de partitionnage (système, applications, documents, puis plus simplement système et applications, documents) pour une autre raison que la fiabilité : la fragmentation. Maintenant que MacOS X défragmente au vol automatiquement, et que je ne remplis plus mes disques durs, cette deuxième raison s’envole. Une grosse partoche, voilà ma pratique courante, et c’est ce que je recommande à mes clients et proches.
Bref, je voulais juste souligner que certains professionnels ont l’attitude inverse, à savoir ne partitionner que lorsque c’est incontournable, i.e. plusieurs systèmes.
J’ai il y a peu (1 an 1/2) équipé un studio photo (mode et publicité, moyen format numérique -> gros, très gros fichiers) d’un SAN et reconfiguré leurs machines. Le SAN est un peu spécial, mais en gros 1 partoche de travail rapide et 1 partoche d’archives sécurisée, et chaque machine avec une unique partition + VMware pour les besoins obscurs.
Le backup ne doit pas être solutionné par une configuration spécifique de la machine, mais par la configuration idoine du logiciel de backup. Dit autrement, le backup doit se plier aux habitudes de travail et non l’inverse.
http://coriolis-systems.com/iDefrag-2.php
iDefrag — Defragmentation & Optimization for Mac OS X
Every computer user has noticed it; over time, your system slows down. This is particularly true in these days of constant security updates as replacing operating system components not only increases the potential for file fragmentation, but also creates a more insidious problem—over time, the operating system itself ends up scattered all over your disk. This, of course, doesn’t show up as fragmentation—after all, the files themselves are probably contiguous—but nevertheless, it takes your machine longer to start up, it takes programs longer to start, and above all, it takes longer to get your work done.
Add in the size of some of the files in common use today, especially music, video, graphics and computer games, and even the best filesystem has trouble keeping things contiguous.
Some people say that HFS+ is so good that you don’t need to defragment. In a way, they’re right—HFS+ is pretty good at keeping small to medium sized files from getting fragmented… it isn’t particularly good, however, at keeping large files or free space from fragmenting, a particular problem on the Mac because the swapfile must be contiguous on the disk, so you can actually run out of virtual memory long before you run out of disk space if your free space is fragmented.
Another objection—this time raised by Apple—is that existing defragmentation tools may actually slow your machine down by moving files into or out of the “Hot Band”, defeating Panther’s Adaptive Hot File Clustering code. As far as we know, iDefrag is the first defragmentation tool for the Mac that fully supports the Hot Zone, guaranteeing that this is not a problem.
Even if you aren’t interested in defragmenting your hard disk, if you produce products on CD-ROM disks, iDefrag will be of use. Seek times on CD-ROM and DVD-ROM disks are many times slower than those of hard disk mechanisms, so fragmentation really hits performance, in some cases adding many minutes to read times. iDefrag can defragment disk images before they are burnt onto CD or DVD-ROM, optimizing access time and significantly reducing install or read times.
And, unlike other products, iDefrag provides a wealth of information about your files, so you can see which ones are most fragmented and even look where they are on the disk. The screenshots on this page are from a perfectly normal 120GB hard disk, installed in a PowerMac G4 that is used for software development, wordprocessing and other everyday tasks (writing this web page, for instance). Look how fragmented it has become; most of that is actually down to one or two large files—like /usr/bin/emacs, shown on the right, with 96 fragments—but there are a substantial number of less fragmented files, over 3,000 in fact.
Most other defragmentation utilities provide very little information on their display, but iDefrag excels in this area. Each extent (that’s HFS-speak for “fragment”) is color-coded according to a set of very flexible user-definable rules; in addition, iDefrag darkens every other fragment of the same color so that you can see them individually on the display. Plus, you can hover over an extent to display information about the associated file in the Info panel, or click on it to select the file so you can examine it in detail. You can ask iDefrag to jump to any file on the disk, giving a path or a Catalog Node ID (a number used to uniquely identify every file on the disk). Or, with a file selected, you can double-click on an extent in the Info panel to jump straight there.
Now, some other defragmentation tools can display individual blocks, but how many also show you the entire disk? And of those that can display the entire disk, how many keep the display sub-pixel accurate even during defragmentation? Plus, the whole disk display can be used to quickly navigate about the disk by dragging or clicking the mouse pointer on it.
On top of this graphical sophistication, iDefrag supports the very latest filesystem features, including case sensitivity, journaling and adaptive hot file clustering. It has four different defragmentation tools, supporting
Disk compaction (useful when resizing small disks with iPartition).
Metadata optimization.
Advanced, programmable optimization.
On-line defragmentation.
The first three are ordinary, off-line algorithms; they require that the disk be un-mounted, which means that they cannot be used on disks with open files. The last one, however, will work on filesystems that are currently in use. As far as we know, iDefrag is the only defragmentation tool on Mac OS X that supports both techniques.
As for the programmable optimization algorithm… it uses the same classification engine used to color the blocks on the display, and can be configured using arbitrary expressions in a simple text file. For instance, say you wanted to group all files whose name contains in “Barn” and that are between 10KB and 10MB in size into a single place; or perhaps you want to place everything from the “/sw” directory in the same part of the disk. It’s easy with iDefrag.
http://coriolis-systems.com/iDefrag-2.php
iDefrag — Defragmentation & Optimization for Mac OS X
Every computer user has noticed it; over time, your system slows down. This is particularly true in these days of constant security updates as replacing operating system components not only increases the potential for file fragmentation, but also creates a more insidious problem—over time, the operating system itself ends up scattered all over your disk. This, of course, doesn’t show up as fragmentation—after all, the files themselves are probably contiguous—but nevertheless, it takes your machine longer to start up, it takes programs longer to start, and above all, it takes longer to get your work done.
Add in the size of some of the files in common use today, especially music, video, graphics and computer games, and even the best filesystem has trouble keeping things contiguous.
Some people say that HFS+ is so good that you don’t need to defragment. In a way, they’re right—HFS+ is pretty good at keeping small to medium sized files from getting fragmented… it isn’t particularly good, however, at keeping large files or free space from fragmenting, a particular problem on the Mac because the swapfile must be contiguous on the disk, so you can actually run out of virtual memory long before you run out of disk space if your free space is fragmented.
Another objection—this time raised by Apple—is that existing defragmentation tools may actually slow your machine down by moving files into or out of the “Hot Band”, defeating Panther’s Adaptive Hot File Clustering code. As far as we know, iDefrag is the first defragmentation tool for the Mac that fully supports the Hot Zone, guaranteeing that this is not a problem.
Even if you aren’t interested in defragmenting your hard disk, if you produce products on CD-ROM disks, iDefrag will be of use. Seek times on CD-ROM and DVD-ROM disks are many times slower than those of hard disk mechanisms, so fragmentation really hits performance, in some cases adding many minutes to read times. iDefrag can defragment disk images before they are burnt onto CD or DVD-ROM, optimizing access time and significantly reducing install or read times.
And, unlike other products, iDefrag provides a wealth of information about your files, so you can see which ones are most fragmented and even look where they are on the disk. The screenshots on this page are from a perfectly normal 120GB hard disk, installed in a PowerMac G4 that is used for software development, wordprocessing and other everyday tasks (writing this web page, for instance). Look how fragmented it has become; most of that is actually down to one or two large files—like /usr/bin/emacs, shown on the right, with 96 fragments—but there are a substantial number of less fragmented files, over 3,000 in fact.
Most other defragmentation utilities provide very little information on their display, but iDefrag excels in this area. Each extent (that’s HFS-speak for “fragment”) is color-coded according to a set of very flexible user-definable rules; in addition, iDefrag darkens every other fragment of the same color so that you can see them individually on the display. Plus, you can hover over an extent to display information about the associated file in the Info panel, or click on it to select the file so you can examine it in detail. You can ask iDefrag to jump to any file on the disk, giving a path or a Catalog Node ID (a number used to uniquely identify every file on the disk). Or, with a file selected, you can double-click on an extent in the Info panel to jump straight there.
Now, some other defragmentation tools can display individual blocks, but how many also show you the entire disk? And of those that can display the entire disk, how many keep the display sub-pixel accurate even during defragmentation? Plus, the whole disk display can be used to quickly navigate about the disk by dragging or clicking the mouse pointer on it.
On top of this graphical sophistication, iDefrag supports the very latest filesystem features, including case sensitivity, journaling and adaptive hot file clustering. It has four different defragmentation tools, supporting
Disk compaction (useful when resizing small disks with iPartition).
Metadata optimization.
Advanced, programmable optimization.
On-line defragmentation.
The first three are ordinary, off-line algorithms; they require that the disk be un-mounted, which means that they cannot be used on disks with open files. The last one, however, will work on filesystems that are currently in use. As far as we know, iDefrag is the only defragmentation tool on Mac OS X that supports both techniques.
As for the programmable optimization algorithm… it uses the same classification engine used to color the blocks on the display, and can be configured using arbitrary expressions in a simple text file. For instance, say you wanted to group all files whose name contains in “Barn” and that are between 10KB and 10MB in size into a single place; or perhaps you want to place everything from the “/sw” directory in the same part of the disk. It’s easy with iDefrag.
D’accord avec tout ça : tout le monde n’a pas besoin de partitionner (ni de defragmenter)…
Sauf que le gros problème est que justement MacOSX ne defragmente pas TOUT à la volée… Ceci est une légende : Car seul les fichiers pesant moins d’un certain poids sont défragmentés par Mac OS (j’ai oublié la taille exacte, mais tu peux le trouver sur le site support d’Apple, je crois me rappeler que c’est un chiffre assez bas) !
Autrement dit quand tu utilise de la photo de la video et des documents psd de plusieurs centaines de Mo… tu fragmente obligatoirement ton disque système si tu n’a pas partitionné (surtout si tu efface et recopie très souvent ton travail sur un portable qui n’est qu’une machine de transite).
Quelques infos sur le dite de l’éditeur de iDefrag :
http://coriolis-systems.com/iDefrag-2.php
Sur le site d’Apple ( http://docs.info.apple.com/article.html?artnum=25668) on lit d’ailleurs :
If your disks are almost full, and you often modify or create large files (such as editing video, but see the Tip below if you use iMovie and Mac OS X 10.3), there’s a chance the disks could be fragmented. In this case, you might benefit from defragmentation, which can be performed with some third-party disk utilities.
Another option is to back up your important files, erase the hard disk, then reinstall Mac OS X and your backed up files.
Pour conclure : le partitionnement d’un portable en 2 : SYST+SOFT d’un part et TRAVAUX sur une seconde partition me semble indispensable pour certaines utilisations (et pas bien compliqué). Dans un Mac Pro, il vaut toutefois mieux utiliser des disques différents (c’est plus rapide)…
http://coriolis-systems.com/iDefrag-2.php
iDefrag — Defragmentation & Optimization for Mac OS X
Every computer user has noticed it; over time, your system slows down. This is particularly true in these days of constant security updates as replacing operating system components not only increases the potential for file fragmentation, but also creates a more insidious problem—over time, the operating system itself ends up scattered all over your disk. This, of course, doesn’t show up as fragmentation—after all, the files themselves are probably contiguous—but nevertheless, it takes your machine longer to start up, it takes programs longer to start, and above all, it takes longer to get your work done.
Add in the size of some of the files in common use today, especially music, video, graphics and computer games, and even the best filesystem has trouble keeping things contiguous.
Some people say that HFS+ is so good that you don’t need to defragment. In a way, they’re right—HFS+ is pretty good at keeping small to medium sized files from getting fragmented… it isn’t particularly good, however, at keeping large files or free space from fragmenting, a particular problem on the Mac because the swapfile must be contiguous on the disk, so you can actually run out of virtual memory long before you run out of disk space if your free space is fragmented.
Another objection—this time raised by Apple—is that existing defragmentation tools may actually slow your machine down by moving files into or out of the “Hot Band”, defeating Panther’s Adaptive Hot File Clustering code. As far as we know, iDefrag is the first defragmentation tool for the Mac that fully supports the Hot Zone, guaranteeing that this is not a problem.
Even if you aren’t interested in defragmenting your hard disk, if you produce products on CD-ROM disks, iDefrag will be of use. Seek times on CD-ROM and DVD-ROM disks are many times slower than those of hard disk mechanisms, so fragmentation really hits performance, in some cases adding many minutes to read times. iDefrag can defragment disk images before they are burnt onto CD or DVD-ROM, optimizing access time and significantly reducing install or read times.
And, unlike other products, iDefrag provides a wealth of information about your files, so you can see which ones are most fragmented and even look where they are on the disk. The screenshots on this page are from a perfectly normal 120GB hard disk, installed in a PowerMac G4 that is used for software development, wordprocessing and other everyday tasks (writing this web page, for instance). Look how fragmented it has become; most of that is actually down to one or two large files—like /usr/bin/emacs, shown on the right, with 96 fragments—but there are a substantial number of less fragmented files, over 3,000 in fact.
Most other defragmentation utilities provide very little information on their display, but iDefrag excels in this area. Each extent (that’s HFS-speak for “fragment”) is color-coded according to a set of very flexible user-definable rules; in addition, iDefrag darkens every other fragment of the same color so that you can see them individually on the display. Plus, you can hover over an extent to display information about the associated file in the Info panel, or click on it to select the file so you can examine it in detail. You can ask iDefrag to jump to any file on the disk, giving a path or a Catalog Node ID (a number used to uniquely identify every file on the disk). Or, with a file selected, you can double-click on an extent in the Info panel to jump straight there.
Now, some other defragmentation tools can display individual blocks, but how many also show you the entire disk? And of those that can display the entire disk, how many keep the display sub-pixel accurate even during defragmentation? Plus, the whole disk display can be used to quickly navigate about the disk by dragging or clicking the mouse pointer on it.
On top of this graphical sophistication, iDefrag supports the very latest filesystem features, including case sensitivity, journaling and adaptive hot file clustering. It has four different defragmentation tools, supporting
Disk compaction (useful when resizing small disks with iPartition).
Metadata optimization.
Advanced, programmable optimization.
On-line defragmentation.
The first three are ordinary, off-line algorithms; they require that the disk be un-mounted, which means that they cannot be used on disks with open files. The last one, however, will work on filesystems that are currently in use. As far as we know, iDefrag is the only defragmentation tool on Mac OS X that supports both techniques.
As for the programmable optimization algorithm… it uses the same classification engine used to color the blocks on the display, and can be configured using arbitrary expressions in a simple text file. For instance, say you wanted to group all files whose name contains in “Barn” and that are between 10KB and 10MB in size into a single place; or perhaps you want to place everything from the “/sw” directory in the same part of the disk. It’s easy with iDefrag.
J’ai rêvé ou ça parle bien des nouveaux Macbook pro?
source:
http://www.macworld.com/article/132255/2008/02/macbookair.html
Apple on Tuesday introduced new models of its consumer-level MacBook and high-end MacBook Pro laptops, adding the newly unveiled Penryn chips to its portable line and boosting processor speeds. In addition, the MacBook Pro adopts the MultiTouch trackpad first introduced in Apple’s MacBook Air laptop.
The MacBook Pro comes in three configurations: a 15-inch model with a 2.4GHz Intel Core 2 Duo chip; a 15-inch 2.5GHz offering, and a 17-inch 2.5GHz system. A 2.6GHz Core 2 Duo chip is available as a $250 build-to-order option for the MacBook Pro.
The MacBook also comes in three configurations. The white MacBook features either a 2.1GHz or 2.4GHz Core 2 Duo processor. The black model features a 2.4GHz chip.
The Core 2 Duo processors are part of Intel’s new mobile Penryn line introduced by the chipmaker last month. Penryn mobile processors use a 45-nanometer microprocessor architecture, which is more energy-efficient than the previous 65nm architecture. The instruction set—Streaming Single Instruction, Multiple Data Extensions 4—can improve the speed of some tasks in applications rewritten to include SSE-4 support.
Some Penryn chips also boost the shared L2 cache size to 6MB. Indeed, the two 2.5GHz MacBook Pros sport 6MB of L2 cache, up from 4MB in the previous models. However, the 15-inch 2.4GHz MacBook Pro features only 3MB of L2 cache, a drop-off from its predecessor.
All three MacBook offerings come with 3MB of L2 cache. The previous models offered 4MB.
In addition to the processor changes, the new MacBook Pro models come with 2GB of installed memory and an 8X SuperDrive. All models come with an Nvidia GeForce 8600M GT graphics processor; the entry-level 2.4GHz model features 256MB of video memory, while the other two configurations offer 512MB.
The 2.4GHz system comes with a 200GB hard drive, up from 120GB in the previous entry-level offering. The two 2.5GHz MacBook Pros offer 250GB of storage, with a 300GB hard drive available as a $75 build-to-order option for the 17-inch laptop.
David Moody, Apple vice president of worldwide product marketing said the larger capacity hard drives in the new models were made with creative pros in mind. “We have a lot of people that are studio pros and want to take their projects with them,” he added.
The 17-inch MacBook Pro joins the MacBook Air in using arsenic-free glass and it also has an optional mercury-free LED backlit display. This, says Moody, helps Apple in its commitment to reduce trace amounts of mercury in its products. The 15-inch MacBook Pros added LED-backlit displays in last summer’s laptop update.
This update to the MacBook Pro line also adds the MultiTouch trackpad, similar to the one featured on the MacBook Air. The trackpad recognizes pinch, rotate and swipe gestures, allowing users to zoom and rotate photos from their trackpad.
There is one significant difference between the MultiTouch capabilities on the MacBook Air and the new MacBook Pro models. While the Air features a larger trackpad, the revamped MacBook Pro line-up retains the existing trackpad size.
Apple says the latest MacBook Pro is up to 74 percent faster than the original 17-inch 2.16GHz MacBook Pro Core Duo introduced in early 2006. Macworld Lab plans to test each new MacBook Pro to see how it compares to previous generations.
The MacBook Pro models are now shipping at the following prices:
* $1,999 for the 15-inch 2.4GHz MacBook Pro Core 2 Duo with 200GB hard drive;
* $2,499 for the 15-inch 2.5GHz MacBook Pro Core 2 Duo with 250GB hard drive; and
* $2,799 for the 17-inch 2.5GHz MacBook Pro Core 2 Duo with 250GB hard drive.
Salut Jérôme, oui ils sont sorti hier… Mais l’upgrade est mineur ! Pas suffisant pour que j’y consacre un article. D’autres s’y collent…
Bonjour, je viens apporter ma contribution , je suis un utilisateur multimédia et j’ai depuis longtemps arrêté l’utilisation du partitionnage pour des raisons évident d’usure et de temps d’accés moindre … cependant pour une utilisation nomade professionnel je me verrai peut etre tenté mais avec toujours des DD pour le back up … je ne vois comme seul avantage du partionnage le fait de pouvoir reformater la partition « JOBS » lors de changement de travaux lourds (photo/video/musique) … mais je ne suis pas sur en 2008 que le partionnage ne soit vraiment benefique au workflow comparé a un volume plein avec ses back up a coté .
Il y a et aura toujours des utilisation particuliéres mais personnellement je ne recommande pas le partionnage systématique … surtout sur un Laptop a l’extraction des plus compliquées … expérience quand tu nous tiens !!!
JFV « Sauf que le gros problème est que justement MacOSX ne defragmente pas TOUT à la volée… Ceci est une légende : Car seul les fichiers pesant moins d’un certain poids sont défragmentés par Mac OS (j’ai oublié la taille exacte, mais tu peux le trouver sur le site support d’Apple, je crois me rappeler que c’est un chiffre assez bas) ! »
Alors, de mémoire, le système ne défragmente pas les 3 premières minutes après le boot. Puis il défragmente automatiquement chaque fichier ouvert faisant moins de 20 Mb. Les fichiers jamais ouverts ne sont pas défragmentés, quant aux gros fichiers, la fragmentation est beaucoup moins critique pour des tas de raisons dont le nombre de fichiers concernés. Somme toute, au delà de 20 Mb, il n’y en a pas tant que ça.
La bonne nouvelle est que la grande majorité des fichiers RAW de nos appareils sont donc défragmentés à l’ouverture.
Diverses optimisations, introduites dans le 10.4 et maintenant le 10.5, réduisent plus encore les effets négatifs de la fragmentation. Le read ahead par exemple. Lorsqu’une application commence à lire un fichier, le système charge la suite, alors que l’application bosse sur la première lecture et n’a pas encore entamé la lecture de la suite. Ainsi, lorsqu’elle demande les données, elles arrivent plus vite car le système a déjà commencé le boulot. Plus on a de mémoire, mieux c’est évidemment. Mon MacBook Pro à 4 Gb, et je peux vous assurer qu’après quelques heures d’uptime MacOS X utilise toute la mémoire libre en particulier comme cache disque.
J’ajouterai encore une chose. Moyennant que MacOS X défragmente beaucoup de fichiers, pour ne pas dire une grosse majorité, il vaut mieux avoir un maximum d’espace libre pour éviter de fragmenter les plus gros fichiers. En partitionnant, on empèche le système d’utiliser l’espace libre en totalité pour y placer les fichiers. Et en pratique, deux partitions de 20 Gb présenterons plus de fichiers fragmentés qu’une seule de 40 Gb (contenant les mêmes fichiers). Sauf à s’astreindre à une défragmentation manuelle très régulièrement.
A chaque fois que tu formate la seconde partition pour la vider… elle est automatiquement défragmentée alors ?
Ce qui tendrait à démontrer comme le dit JF que travailler sure un partition neuve à chaque fois est encore la meilleur façon de faire non ?
Pour ce qui concerne la partition système si celle-ci dispose de quelques Go de libres (5 à 7 Goa u moins), cela devrait être suffisant pour éviter qu’elle se fragmente non ? Surtout si l’on n’y ajoute jamais aucuns nouveaux fichiers (ils transitent par la partition 2)…
Par ailleurs les fichiers psd supérieurs à 20Mo sont vraiment assez nombreux quand on est photographe et que l’on duplique le calque de fonc ou qu’on crée des Tiff 16 bits… Sans quoi ceux-ci ne sont jamais dégragmentés par le système.
La fragmentation depend de l’espace libre restant. Moins il ya de grands blocs libres pour placer des fichiers plus on doit les fragmenter c’est a dire les decouper en petits bouts pour les pacer dans les petits bouts entre deux fichiers. Moralite plus le disque est petit plus on a de risque de fragmenter ses fichiers, et donc plus on partionne, plus on divise l’espace disque initial plus on fragmente …cqfd.
La defragmentation par logiciels est un nouveau risque pour perdre ses donnees. Il vaut mieux consacrer du temps a sauvegarder ses donnees qu’a defragmenter.
Le degre de penibilite de la fragmentation depend du ratio nombre de fragments/taille du fichier, ce qui fait que ce n’est pas la peinde de defragmenter les gros fichiers car la perte de temps due au deplacement des tetes de lecture pour aller sur le fragment suivant est negigeable devant le temps total pour lire ce fichier (en plus les tetes de lecture sont devenues plus rapide donc ..)
Un danger des outils de defragmentations et du partitionnement c’est de deplacer des petits fichiers qu’OS a soigneusement places au bon endroit sur le disque (sur lebord exterieur du disque la ou c’est le plus rapide) et de perdre du temps parce que l’os va essayer de remmettre ses petits fichiers ou bon endroit.
Cela dit, en cas de fragmentation elevee (jamais vue dur OSX), la meilleure methode reste celle de Jean-Francois : copie des donnees ailleurs, formatage, recopie des donnees.
oui, certes…
Pour ton info iDefrag est le premier soft à justement tenir compte du positionnement optimal de ces fichiers utiles à OSX… Expliqué ici :
http://coriolis-systems.com/iDefrag-2.php
Enfin, si tu garde tes gros fichiers sur ta seconde partition, tu évite de fragmenter la première ! Et si tu gardes assez d’espace libre sur la première (entre 5 et 10 Go) cela suffit au système pour defragmenter automatiquement les petits fichiers (moins de 20 Mo)…
Donc j’en conclu que ce n’est absolument pas un problem d’avoir 2 partitions (à condition de rester dans certaines limites raisonnables)… Si cela permet de rendre certains services par ailleurs pourquoi s’en priver ?
Par ailleurs cela m’est très utile lorsqu’il s’agit de tester un nouvel OS :
1 – Je clone mon systèem sur la seconde partition
2 – Je le mets à jour (passage de Tiger à Leopard par exemple)
3 – Je teste durant quelques temps. Puis en fonction du résultat :
Soit je reviens à mon ancien system (ce que j’ai fait rapidement après avoir testé Leopard, mon MacbookPro est tjrs sous Tiger)
Pour revenir à la première digression de ton poste, au sujet des portables et de leur évolution. Mes portables ont trois vies : Proc maxi à l’achat avec Ram 50% et bon disque. La machine est alors au-dessus du lot. Après quelque temps, je compense son obsolescence galopante en passant la RAM à 100% de ce que peut gérer la machine. Enfin, après 1 an et demis 2 ans, je fais monter les performances et la capacité du disque en prenant un modèle qui n’existait pas lors de l’achat.
Une machine, mais trois machines.
Certes le changement de disque sur les Alu n’est pas aussi simple que sur le Ti et je ne parle pas des Lombards (on change un disque en moins de 5 minutes sur ces machines). Mais franchement, ça vaut le coût. Regarde ce que proposent les équipementiers aujourd’hui. Attention seulement à ne pas augmenter la performance si on a besoin uniquement de capacité : monter en tours réduit l’autonomie, même si les modèles récents progressent également sur ce point.
Dans le même esprit que GrandPerspective, il existe Disk Inventory X
http://www.derlien.com/
buy valium online florida
buy valium online florida
Gut!