Cet article publié dans Le Monde le mois dernier nous avait échappé, merci a Alain de m’en avoir informé ce matin… Nos lecteurs professionnels qui ont suivi l’affaire Sigma Corbis, ne manquront pas sa lecture (relire a ce sujet ceci, ceci, cela et cela : Cinq photographes attaquent Corbis)
» Michel Philippot, Philippe Ledru, Dominique Aubert, Moshe Milner et Derek Hudsonnq, anciens photographes de l’agence photo Sygma, ex-fleuron du photojournalisme, n’ont pas digéré sa mise en liquidation brutale en 2010.
Ils ont porté plainte en 2011 contre Corbis Corporation, propriété de Bill Gates, pour »organisation frauduleuse d’insolvabilité » et »abus de bien social« (Le Mondedu 29 juillet 2011). Ils accusent Corbis d’avoir organisé la faillite de sa filiale Sygma afin de récupérer ses actifs… mais pas ses dettes. Et cette fois, ils présentent un élément à charge.
Dans un document transmis en juillet au juge Van Ruymbeke, chargé du dossier, et que Le Monde s’est procuré, est envisagée en toutes lettres dès 2001 « une procédure collective qui mettrait de fait à l’abri des poursuites individuelles de ses créanciers ». Un document évoqué par le journaliste Michel Puech dans le livre Génération Sygma, qui vient de paraître (éd. La Martinière, 239 p., 37,05 euros). »
La suite est a lire sur le site du Monde : Nouvel élément à charge dans l’affaire Sygma-Corbis (LE MONDE | 07.09.2013 à 10h16 • Mis à jour le 08.09.2013 à 22h10 |Par Claire Guillot Perpignan, envoyée spéciale).
Photo trouvée sur le site de Télérama : Cinq photographes portent plainte contre l’agence Corbis.
N’est ce pas la tout le charme de l’économie libérale cher Monsier Vibert ? On ne réglementerait que la ou ça vous arrange ‘
Oh, vous n’avez qu’a inventer un autre système que l’économie libérale ! Si vous savez comment faire…
Certains on essayé (Russie soviétique, Chine), cela s’est traduit par des massacres, des goulags, des famine… Sans parler de diverses utopies sans lendemain !
Oui, l’économie libérale doit être encadrée, réglementée, humanisée et ses angles arrondis… Un peu comme une maladie qu’il faut soigner, mais sans tuer le malade !
Si vous supprimez la liberté (d’entreprendre… mais pas seulement), et bien rien ne marchera ! Les adversaires de l’économie libérale, ont par définition une tentation totalitaire (parfois sans le savoir).
« Un peu comme une maladie qu’il faut soigner, mais sans tuer le malade ! »
Et aussi sans vraiment tuer la maladie………
Bill est donc libre d’entreprendre et ainsi de contourner les protections nationales, ce qu’il fait à merveille ! Quand au passage des théories fumeuses à la Gourio aux crimes communistes … Liquider des actifs … Ah la polysémie du mot actif ….
PS : ça n’enlève en rien mon plaisir de consulter le site pour les infos expertes ( celles qui concernent le mac et la photo :-) )